Présentation {Nihru Asakura}

Nom : Asakura
Prénom : Nihru
Âge : 19 ans
Pouvoirs : Psyonnique



Physique :

.....Son charme est naturel, son charisme épique. Nihru n’est pas de ces jeunes femmes que l’on qualifie d’immensément belles. Il faut avant tout s’imaginer une petite silhouette d’un mètre cinquante tout au plus, ainsi qu’une finesse s’avoisinant à la maigreur. Malgré son manque d’embonpoint, la candide est fort agréable à voir. Ses membres quoique osseux sont joliment effilés, si bien que son frère aime à comparer ses fines jambes à d’incroyables racines d’arbre ancestral. Ces fières racines sont cependant arquées, comme si la jeune fille renfermait du sang japonais dans ses veines. C’est ainsi que cette silhouette intrigante n’a rien de séduisant, mais plutôt de charmant. Grâce à cette morphologie, elle possède une étonnante dextérité et un don accru pour l’art de la dissimulation, tandis que sa rapidité légendaire lui a permis de se sortir de biens mauvaises situations. En revanche, sa constitution est faible, sa force bien trop médiocre. Elle apparaît telle une fée virevoltant ça et là mais qui, aux mains de ses prédateurs, n’aurait d’autre issue que de se laisser mourir. Enfin, attraper la demoiselle n’est pas qu’un simple fait mais un défi à relever pour l’humanité entière !
..... Son visage est tout aussi charmant et intriguant. Sa petite taille et ses caractéristiques physiques ne lui donnent en rien son âge. Sa candeur est attrayante, tandis que sa fragilité attire hélas les êtres en proie à la manipulation. Malgré sa maigreur, Nihru possède deux pommettes saillantes, rougissant à la moindre émotion. Cela contraste avec la fraîche pâleur de son teint. Lorsque ses joues s’embrasent, c’est son visage entier qui s’anime. Ses grands yeux bleus frétillent d’excitation, largement ouverts et en alertes sur le monde. Ses lèvres, fines et rosées, adressent à son entourage un merveilleux sourire pur mais timide. C’est dans ce comportement chaleureux que la jeune ingénue apparaît le plus souvent aux yeux de tous. Mais dans ses moments de solitude, ses longs cils se baissent gracieusement, tandis que son regard fixe des horizons imaginaires. Son sourire bien que présent semble bien moins enjoué, et ses pommettes de feu laissent place à un teint rosé moins lumineux. Elle est comme une fleur qui se referme en l’absence de la lumière d’autrui, laissant néanmoins échapper les derniers souffles de sa vivacité.
..... Chez elle, tout n’est que finesse : son visage effilé, son nez délicat, ses sourcils bien tracés, sa chevelure de soie. Celle-ci tombe gracieusement sur ses épaules, aussi douce, légère et chatoyante qu’un pétale de rose. Sa couleur rosée laisse place bien souvent à l’étonnement, mais elle est bien trop douce et pastelle pour choquer. Nihru prête d’ailleurs une extrême attention à cette chevelure si peu commune, qu’elle conçoit comme un précieux don du ciel. Des mèches s’animent, éparses, et une autre longue et effilée vient recouvrir son œil droit, masque d’un bien douloureux secret. Le long de son dos, une mèche nattée s’arrête à la naissance de sa colonne vertébrale. Cette longue natte virevolte joliment à chacun de ses pas élancés.
..... L’aspect vestimentaire de la jeune fille est un univers là encore étonnant. Elle ne s’habille qu’avec de courtes jupes, dévoilant avec charme ses frêles jambes. Le tissu de ses habits est toujours coloré : rose, violine, orangé... De longues chaussettes tout aussi chatoyantes recouvrent ses jambes, accompagnées de bottines de cuir blanc. Ses hauts échancrés mettent en valeur son élégante poitrine, sans lubricité ni vulgarité.

Particularités physiques :

..... Deux éléments restent une source de mystère pour Nihru. Tout d’abord, un étrange tatouage gravé sur son épaule droite, présent depuis ses plus lointains souvenirs. D’autre part, tout le long de son œil droit se dessine une fine balafre. Sa pupille est rouge sanguine, totalement déshumanisé. D’ailleurs, jamais une larme n’y a coulé. L’ingénue a toujours vécue avec cela, mais jamais elle n’en a fait une partie intégrante d’elle même. Ces deux marques extérieures sont, selon elle, les clés de son passé.



Caractère :

..... Son apparence reflète toute sa personnalité contrastée. Nihru est une jeune fille puérile, s’émerveillant à la moindre occasion. La vie n’est qu’un vaste mystère, et elle consacre sa vie à l’explorer minutieusement. Curieuse, les yeux grands ouverts à l’affût de quelques évènements miraculeux, elle observe. Elle observe les mœurs humains, elle examine avec grande excitation leurs désirs, leurs envies. Cette quête de compréhension de l’être humain n’a pour seul but que de comprendre l’immensité de cet étrange monde. C’est du moins ce que la candide croit. Exaltée, elle sourit tout autant face à la beauté d’un aurore flamboyant que confrontée à la bonté de l’homme. Le sourire, la bonne humeur sont toujours présents. sa vie apparaît colorée, acidulée et tellement positive. La jeune fille s’entoure de rose, de peluches et autres babioles enfantines, ce qui lui fait par ailleurs oublier ses dix-huit années. Rien ne semble plus la désoler que de voir la société ôter l’utopie de l’adolescence. Son paradis est artificiel, terrestre, mais contrairement au repos religieux, il est là, à portée de main. D’ailleurs Nihru n’a foi en aucune force métaphysique. Pour cause : selon elle, si un quelconque dieu existait, ni guerre, ni souffrances, ni misères ne subsisteraient. S’il existait, elle aurait eu une mère, une véritable famille... Non, jamais elle ne se hasarde en des pensées transcendantales. Cependant, une foi en son cœur persiste, si forte qu’elle tente à lui faire savourer chaque minutes de son existence. C’est sa foi en l’homme, en l’avenir. Elle aime l’humanité, elle la chérie. Son rire cristallin et sa chaleur lui sont destinés, illuminant le cœur des êtres en proie au désespoir. Nihru est on ne peut plus sociable, s’attirant facilement la sympathie d’autrui. Elle émerveille bien souvent, promettant à chacun des lendemains qui chantent. Il est certain qu’elle apparaît comme un être positif aux yeux de tous. Son courage est sans faille, ses promesses sereines, son sourire sincère. Le positivisme parait être le fondement de sa philosophie, la fillette ne cessant encore et toujours d’aller de l’avant. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, Nihru en est certaine.
..... Mais comment faire confiance aussi aveuglément en l’homme sans en cultiver des séquelles ? La jeune fille affiche sa chaleureuse superficialité comme masque de ses peines et interrogations. Cette foi en l’être humain est toujours sali, bafoué, déshonoré. Avec ses pures et naïves intentions, l’ingénue est trop souvent manipulée sans même qu’elle n’en prenne conscience. Sa puérilité attire des êtres aux biens noirs desseins, et seul son frère paraissait qualifié pour la sortir de leurs savantes griffes. Ainsi le positif courage se transforme en triste témérité qui ne cesse d’alimenter un malaise en elle. Si son sourire est bien visible aux yeux des autres, elle laisse ses souffrances à la Solitude. Malgré une philosophie des lendemains heureux, les même questions viennent sans cesse la hanter. Comment le Bien peut-il attirer autant de Mal ? Pourquoi cet acharnement ? Et après tout, comment savoir si l’on a franchi ou non la subtile frontière entre le Bien et le Mal ? Une fureur alors l’anime, une rage silencieuse, son sang bouillonne de milles sentiments refoulés. Et ses parents, sa famille ? Et ce tatouage ? Et cet horrible œil balafré ? Sérieusement, pourquoi chercher à étudier l’homme alors qu’il semble qu’elle appartienne à cette race ? Connaît toi toi-même disait ce vieux philosophe ! Tant de questions sans réponses, les larmes ne coulent que de son oeil gauche, la furie n’était que passagère. Mais elle était là.
..... Puis le sourire revient naturellement, comme pour essuyer une longue période de ténèbres. En réalité, ces instants de haine ne durent pas plus d’une nuit. Pour Nihru, ce décalage psychique mérite un nouveau repenti. Le rire et la lumière animent la thérapie, le teint rosé de sa chevelure y ajoute quelques notes de tendresse. Mais elle ne fait qu’étouffer les maux qui la torturent, et de cela elle n’en est pas consciente. De nouveau elle sourit, elle réchauffe les âmes. Puisse cette pureté lui assurer une heureuse fin.

Histoire :


..... Ces mots puis, le néant. Ce fut le commencement de ma courte vie sur Terre. C’était étrange, ni de blanc, ni de noir. Un halo gris aussi rassurant qu’inquiétant. Je ne connaissais rien de ce monde : je ne savais pas voir, pas entendre, pas parler. Il faut dire que biologiquement, j’étais très jeune. C’est alors que je sentis une main dans la mienne. C’était si chaud et si serein, je fus consciente de mon existence. Cette paume, je la serrai pour en extraire toute son énergie. Que c’était bon de vivre, enfin !

..... - “ Nihru, tu m’entends ? Ouvre les yeux ! ”

..... Cette voix, oui, c’était celle de mon frère. Nihru, c’était moi et tout semblait logique à présent. Comment étais-je consciente de cela ? Ni la vie, ni la mort ne m’ont apporté de réponse. En vérité, je m’en contrefiche.

.....- ” Nyatar... j... j... je...”

..... Je n’arrivai pas à parler, aucun mot ne me vint à l’esprit, excepté le nom de mon grand frère. C’était normal, comme je vous l’ai dit j’étais jeune, peut être deux ans, peut être trois.

..... - ” Chut ! Ils vont nous entendre... ”

..... Le sol se mis à trembler, mais je n’arrivai pas à ouvrir les yeux. La peur me saisie à la gorge tandis que je me rapprochai de Nyatar. Sa main tremblait, mon pauvre frère je ne pouvais rien faire pour toi ! C’est toi qui m’as traîné hors de cet enfer, tu les as vu, tu m’as sauvé. A ce moment, à notre genèse, nous ne connaissions qu’un seul et unique sentiment : cet amour pur et puissant que nous ressentions l’un pour l’autre. Tu étais mon grand frère, j’étais ta petite sœur et nous ne pouvions vivre l’un sans l’autre. Notre monde s’en arrêtait là. Aveugle, j’ai couru avec seul guide cette main dans la mienne. Malgré mes yeux clos, je sentis que le gris se dissipai pour laisser place à une source jaillissante de lumière. Notre course s’arrêta là, en même temps que mes souvenirs de cette époque.
Lorsque nous franchîmes cette lumière, ce fut comme si nous sortions du ventre de notre génitrice. Nous naissions. Oui, ce fut comme si.

..... Je ne puis vous dire à quand remonte exactement mes souvenirs après cette anecdote. La suite reste normale : la mémoire me vient en flash successif, sans chronologie.
..... Je vécus dès lors avec mon tendre Nyatar dans un petit appartement abandonné en plein cœur de la ville. Ah Nyatar ! Il était mon frère, mon père protecteur, ma mère aimante, mon plus grand confident. Il était tout. Malgré l’insalubrité de notre demeure et la nourriture parfois absente, nous étions heureux et ne manquions de rien. Pendant qu’il s’absentait, je confectionnais notre masure, si bien qu’elle en devint un chaleureux cocon rien qu’à nous. Je ne savais jamais où il allait, c’était un secret, comme il me le disait. Il revenait à chaque fois avec de la nourriture ou d’autres biens nécessaires à notre habitat. Ce ne fut qu’après que je compris qu’il brigandait pour nous faire vivre.
..... A six ans il m’inscrit à l’école où je commençais à apprendre les bases de l’instruction. En moi, je m’en voulais : à douze ans, mon frère n’était jamais allé à l’école, et cela pour travailler dans l’ombre. C’est moi qui lui appris à compter, lire et écrire correctement, et il n’en avait pas honte... c’était la seule chose que je pouvais lui apporter. A l’école, je me fis des amies qui comptèrent à lui suite énormément pour moi. L’une se nommait Sae, la cartésienne du groupe. Pour elle, la vie n’était qu’une équation et son optimisme scientifique me rassurait. L’autre, c’était Natsume, de l’ordre bouddhique. Elle se reposait sur la métaphysique et sa sagesse me permis de sortir de bon nombre de situations délicates. Nous formions une véritable trinité, cela me comblait. C’est comme si j’avais enfin résolu l’équation 1 1 = 1. Quelle merveilleuse époque ! Grâce à tout cet amour, j’arrivais à oublier... enfin, j’essayai de mon mieux. A oublier ce qui nous était arrivé à Nyatar et à moi, ce jour, ce lieu mystique. J’ai souvent essayé de lui parler de tout cela, de m’assurer que cet épisode sombre de ma vie n’était qu’un rêve. A chaque fois il me regardait avec insistance :

..... - ” Ca n’était pas un rêve Nihru, mais un véritable cauchemar éveillé. “

..... La conversation cessait, je savais qu’il avait tout vu, qu’il avait tout compris. J’étais même presque sûre qu’il savait qui étaient papa et maman. Mais il cherchait à me protéger... de quoi ? Je n’ai jamais pu le comprendre, pas encore. J’ai conscience que nous ne sommes pas comme les autres. J’ai même souvent l’impression que mon corps ne m’appartient pas. De cela, je n’en ai rien dit. Sous son sombre regard, mon frère me dissimulait notre passé, mais son sourire serein me garantissait un avenir radieux. J’étais censée m’en contenter, donc je m’en contentais parfaitement. Mes proches avaient besoin de tout la lumière que je pouvais leur donner. Natsume et Saé n’avaient elles non plus pas eu une enfance facile, alors jamais je ne me risquais à me plaindre de la mienne. Cependant, les stigmates de mon passé ne cessent de me hanter. Cet affreux œil balafré, et ce tatouage peu commun : je ne peux pas les regarder avec sourire. Ils ne sont pas moi, ils sont un autre moi ! De même pour ce corps, il n’est pas normal : il n’est pas naturel mais utile. A quelle fin ? Souvent, sans que mon frère ne le sache, j’expérimentais quelques parties de mon corps. A chaque incision, j’apercevais de l’inconnu, comme une puissante magie dont jamais je ne serais maîtresse. Enfin, cette énigme resta en suspend, tandis que mes proches m’offraient tout ce dont j’avais besoin : de la chaleur, du bonheur et énormément d’amour.

..... Arriva l’un des moments les plus chaotiques de ma vie. Ce fut le déchirement. Ce monde que j’avais bâti sur le néant allait tout simplement dépérir. Cette ville qui m’avait vu grandir, j’allais la quitter. Mes deux amies, mes deux sœurs d’âmes, j’étais censé les oublier. Et mon frère, ma moitié, cet espoir... Le protecteur de mes heures sombres ! C’était comme le renier. Mais c’était sous sa demande, ou plutôt sous son ordre. Un après-midi des plus communs, il m’attendait dans notre masure, installé sur mon lit dans notre chambre. Je me souviendrai toujours de ses yeux tyrannisés entre la tristesse et le désespoir. Dès lors que je le vis, je comprenais que jamais ma vie ne serais comme avant. Il me tendit une lettre. Je la pris. Mais au dernier moment, il m’ôta le papier des mains et me dit, tout en prenant soin de ne pas croiser mon regard :

..... - “ Je crois que tu as appris depuis le temps qu’il ne faut jamais regarder derrière soi, n’est-ce pas ? “

.....Je n’eus pas le temps de dire mot qu’il continua.

..... - “ Alors cette petite leçon que nous a tous deux appris la vie, tu vas l’appliquer. Non pas que j’ai envie que tu m’oublies, que t’oublies tes amies ou ton enfance... Mais tu dois tous miser pour avoir une vie merveilleuse, la meilleure qu’il soit. Même si des sacrifices sont à faire, tu les feras.
..... - Tu me fais peur... va au but Nyatar !
..... - Tu te souviens de ce jour ?
..... - Oui, parfaitement...
..... - Tu as pris ma main sans la moindre hésitation.
..... - Sans la moindre...
..... - Alors, maintenant, prend la Nihru.

..... Je m’approchai lentement de mon frère, et en saisissant sa main je sentis glisser entre mes doigts le fameux papier. Je le lus, et compris que la Fortune m’accordait une chance destructrice. Pour mon bonheur, j’allais devoir m’amputer de mes seules joies terrestres. Je fis mes affaires, Nyatar avait appelé un taxi. Pas d’au revoir, pas d’adieux. La voiture roulait, roulait... je ne me retournai pas. C’est à mes dix neuf ans que l’opportunité de faire mes preuves arriva. Une académie... un institut avec des gens étranges, qui allait accueillir une fillette bizarre. Un œil pleurait, l’autre restait de marbre. C’était comme ça, c’était comme Moi et Je, comme mon passé et mon avenir : l’un je ne le connaissais pas, l’autre j’allais apprendre à le connaître.

Bienvenu a toi

Les nouvelles recrues vont finir par me faire flipper avec leur fiche... Enfin bref bienvenu quand même

Ma momo?

Merci pour la validation, j'envoie aussi le résumé ma Susu ^___^ ! (quand j'aurai le temps)

¤ Face à toi, le destin se déclenche
Nos sorts sont scellés.
Un sourire face à la haine
Main tendue, manipulation.
Qui sera le Maitre de ce jeu ? ¤

Nieu? il a fait quoi Sora?

Mon identité dévoilée ? Hannn Sushi c'est quoi ce bordel je suis recherchée dans le monde entier tu sais ! Euh... *réfléchie* NON, JE NE SUIS PAS SA MÈRE ! Erf, le mal est fait...

Hum... chut pour la faute oki ? On a rien vu.... rien vu du tout hein ? *se précipite sur le bouton éditer*

XD
Euh voui, donc fiche validée tu peux commencer a rp, et fait pas l'innocente, un gosse avec un an de différence avec toi, ça le fait pas mais assume XD

Euh sinon vous avez un trip avec Yuki ou quoi ? XD

que ce que ce bien de pas comprendre!

Je fais ce que je veux !

~ Le dénouement du commencement approche ~

Ecrit français, on comprends rien -_-
Et ma signature d'avant était aussi de FFXIII

Commencez pas a vous embrouiller >_<

Euh sinon je pige rien a votre conversation moi aussi ! Enfin bref ! Yuki bas les pattes de ma Momo et tu peux commencer a jouer ^o^

Oh mais ma petite Kameko, dois-je te dire que un autre secret vient de se sceller entre nous deux ? (le clin d'oeil !!!!) hihi c'est mignon ^o^

Bref Ma fille, t'es pas sortable ! Et mon rang alors, c'est ton grand père qui me le donne ou quoi ! Je veux voir de la couleur sur mon pseudo T__T *snif*. Après, je jouerai ^o^ !!

T'es a peine chieuse dans ton genre la mère XD
Bon allez je te le met parce que c'est toi >_< les autres ils demandent au moins :p toi faut que je te le mette obligatoirement ! >_<

Mais avec ma Sushi, c'est une relation fusionnelle voyons, et elle aime mes ordres. Oui, je lui ai légué mon masochisme (et beaucoup d'autres choses hein !) mais je lui laisse la liberté de me commander quelques fois (avec modération bien sûr). Hein ma Sushi que tu m'aimes ? ^o^.

Merci au fait pour cette couleur bleutée à la noix sur mon pseudo é__è . Je voulais du violet, ça aurait mieux été avec mon avatar >__< *maman chieuse is back* à la place de ce turquoise qui ne rime à rien. Spèce de poisson pas frais que j'aime va ! Tu vas voir la grosseuh punition O__O !!!

{Pas de panique, je commence à poster demain, faut me laisser le temps de m'habituer à ce forum (genre...), ces couleurs (re-genre...) et de réfléchir (et voilà !)}

Haaaaaan ! Tu as fait la comparaison a ma maman avec une vache, XD tu as p'tet pas tort :p
*s'en va en courant*

Ca c'était pour le fait d'avoir été une chieuse ! Mouarg tu te transformes de pêche en vache ! Tout n'a pas cette classe remarque ^o^ Mais même si tu es devenu vache, tu resteras maître Meuh dans mon coeur !

Et comme tu es une vachement douée (mdr le jeu de mot bidon quand même) XD et bin tu vas pouvoir commencer un new graphisme sur ce fofo avec des changements de ton mais toujours une pointe de noir ! Mouarg ! Va voir dans le flood !

Je salive d'avance pour cette punition, le goût s'installe déjà dans ma petite bouche de poisson ! Mouarg !