Night Myu Malgré ça maladresse. C'est votre maître...
Nombre de messages : 442 Age : 32 Localisation : partout où le vent mène mes pas. Date d'inscription : 26/12/2006
| Sujet: Chambre de Myu Night Mer 19 Déc - 19:21 | |
| Petite pièce, sombre, les murs peint de noir, la chambre de Myu n'es pas très geai. Une grande fenêtre border de rideaux rouges sang. Les volet fermer la journée, ouverts la nuit. Pour seul sol, du plancher froid aux grincement inquiétants. Son grand lit a baldaquins, assorties aux rideaux, est border d'une couette épaisse, noir, sur laquelle est poser tout un tas de peluches. Mais pas n'importes quelles peluches!! Toutes ont été éventrées, ou colorier au stylo noir ou rouge, ou encore un collier a pique (ou d'autre sorte de bijoux tel que des persing) ont été rajouter sur certaine d'entre elles.
Depuis que la jeune Myu a disparut de l'académie, la chambre n'est pas entretenu. Des moutons de poussières sous le lit, sa sent le renfermer et la poussière etc.
Les volets, fermés depuis quelques mois, cette nuit là, claquent aux rafales de vent. Soudainement, dans un grincement sonore, les volets s'ouvrent à la voler, claquent contre les murs de l'académies puis se referment aussi brusquement que lorsqu'ils se sont ouverts.
A l'intérieure de la pièce règne un froid glacial. Pas un bruit, une lourde, lourde tension. Sur le lit, une masse ressemblant vaguement a un humain, ou plutôt une humaine vu les long cheveux, semble assise. Cette forme, silencieuse mais aussi glacial que la mort se lève et s'avance a travers la petite chambre.
La porte s'entre ouvre sans un bruit puis la masse sort. Dans le couloir ou l'être vient de pénétré, des ronflements sonores ainsi que d'autres bruit divers et varier résonnent. Un petit bruissement d'étoffe sur le sol annonce l'arriver de l'être dans les escaliers.
Une marche par une marche, l'ombre s'avance. C'est en fait une silhouette fine, recouverte d'une longue cape de voyage noir, dont la capuche est rabattue sur le visage de l'être. Les bruits de ses pas sont couvèrent par le bruit de l'étoffe glissant tranquillement sur le sol, tandis que la pointe de ses pieds nus, cacher par la cape, marchent sur le carrelage geler du nouveau couloir qu'elle empreinte.
Au fur et a mesure que la silhouette avance dans ce nouveau couloir, l'atmosphère s'alourdis, et devient glacial. La silhouette arrive devant une lourde porte de bois, imposante de par sa taille ,par l'importance qu'elle referme et par tout les sorts instaurés par les trois sœurs Night | |
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