Prénom : Orestre
Nom : Natanayel
Age : 18 ans
Pouvoir : psyonnisme
Caractère psycologique : Ne vous fiez pas aux apparences. Derrière ce joli minoi d'ange se cache un vrai démon. Un temps soit peu méchante, elle ne pense qu'à la destruction des autres, les attaquant surtout par la pensée. De son caractère skyzophrène s'ajoute aussi un côté sadomazochiste, qui, comme l'on peut s'en douter, est l'heritage d'un lourd passé trop dur à supporter. Trop sombre. Tellement noir qu'il a détruit en Orestre toute trace de sentiments humains. Son regard froid glacerait le sang de n'importe quel prétentieux qui oserait tenter d'admirer ses yeux, et son sourire, tantôt mélancolique, tantôt diabolique, pourrait herriser les poils à plus d'un. Il est dangereux de s'attaquer à une jeune fille mystérieuse et morbide telle qu'Orestre. Surtout quand elle passe de l'autre côté du miroir...
Caractère physique : Orestre détient une peau d'un blanc de marbre incroyable. Ses longs cheveux noirs ondulent légèrement jusqu'au creux de ses reins, cachant un visage aux yeux en amande d'un bleu incomparable. Sa silhouette est fine et svelte, pareille à une danseuse étoile de haut niveau. Une silhouette obtenue après des mois d'abstinence à toute forme de nourriture quelle qu'elle soit. Ce sublime corps est toujours recouvert d'une robe à l'ancienne d'un beau noir sombre et ténébreux, qui parfois peut changer en un blanc de nâcre, selon l'humeur de la demoiselle. Une robe toujours entourée de chaînes en argents qui descendent jusqu'à ses chevilles petites et menues.Quant à ses yeux, ils seront toujours cernés de noir, et ses bras seront toujours recouverts de grandes mitaines en cuir noires ou blanches, selon qu'elle porte une robe noire ou blanche, lacées sur le côté où se situe le pouce.
Histoire : C'est par une nuit de pleine lune que l'histoire s'achève, et que la fin trouve son début. Orestre se promène dans une forêt sombre et lugubre, plongée en plien désaroi. Une boufée de mélancolie s'est emparée d'elle sans qu'elle ne sache pourquoi, et ne l'a pas quittée de la journée. Et c'est pour se divertir qu'elle est sortie en pleine nuit de sa vieille maison, espérant trouver paix et réconfort en ces lieux sombres caractérisant bien l'aspect négatif de la petite fille. Quand au loin, logé en haut d'une haute colline, cachant à moitié la rondeur de la lune, se fait apercevoir un grand chateau abandonné, caché par els innombrables arbres qui peuplent la forêt. Orestre s'en approche, doucement, ses yeux parcourant le moindre recoins de la facade, comme si elle ne voulait pas en perdre une miette, comem si elle voulait tout impregner en sa mémoire et ne rien oublier.
* Ce chateau à l'air bien effrayant.. * pense-t-elle avant d'ouvrir la porte et de pénétrer dans un grand couloir sombre, infecté de poussière et de toiles d'araignées. Le calme règne en ces lieux, ainsi que la peur. Mias Orestre ne recule pas? Elle sait qu'elle ne se fera pas attraper par sa maman, car cette dernière n'est pas à la maison, et ne rentrera pas avant des heures.
La petite demoiselle, à ce moment âgée tout juste de six ans, et déja une petite aventurière, s'avance dans le silence et l'ombre du chateau. Sa curiosité grandissant, elle parcourt de fond en combre ce qui semble être un chateau autrefois occupé par un puissant Roi, à en voir le stapisserie et les tableaux qui ornent les murs fièrement et dignement. Les vitraux sont magnifiques. Toutes ces couleurs... La seule lumière dans ce sinistre chateau. Orestre s'y perd presque, oubliant sa condition de frôdeuse dans un chateau abandonné, quand un cri se fait entendre. Un cri aigu, qui semble provenir de la bouche d'une femme. Un cri troublant qui laisse la petite Orestre perplexe. Elle n'avait jamais entendu un cri pareil. Ce n'est pas un cri de douleur, ou un appel à l'aide. Ca n'y ressemble pas. Ce ne ressemble à aucun cri connu de la part d'Orestre. Celle-ci s'avance donc, suivant le cri comme une chasse au trésor, et elle débouche devant une grande porte cerclée de fer. Le cri vient de derrière. La main tremblante d'Orestre s'approche doucement de la poignet, et la porte s'ouvre brusquement. En un instant la petite fille se retrouve baignée dans une atmosphère étrange, inconnue, impressionnante. Orestre n'avait jamais vu ça de sa toute jeune vie. La pièce est lumineuse, contrairement aux autres pièces plongées dans les ténébres. La piéce était éclairée par de nombreuses bougies alignées sur le sol en une forme étrange. La salle paraissait grande, et en son centre se trouvait donc les bougies. De grands cierges possitionnés là dans un but bien précis. Et au centre des bougies se trouvait un cercle humain. De grands hommes, ou peut-être des femmes, encapuchonnés dans de grands capuchons bleu-gris, légèrement délavés, qui cachent leur visage. Mais que peuvent-ils bien faire ici ? C’est ce que se demande Orestre. Et la tentation est trop forte, elle s’avance vers le cercle, le cri de la femme toujours a porté d’oreille. Et de plus en plus aigu au fur et à mesure qu’elle s’en approche. Et ce qu’elle voit l’horrifie au plus haut point. Une femme est là, allongée sur le sol, nue. Et à califourchon sur elle se trouve un homme, lui aussi, qui gesticule en des formes bizares, et c’est ce qui fait crier la femme, dont Orestre ne voit pas le visage. Des cris à la fois roques et aigus qui ne cessent de se ploger dans le creux de l’oreille de l’inocente petite fille. Mais qu’étaient-ils en train de faire ? L’instinct enfantin souffla la réponse à Orestre. Elle n’avait jamais vu une chose aussi répugnante. Et après s’être quelque peu remise de ses émotions, Orestre se rendit compte des traces de sang qui sillonnaient le sol en une petite rivière rouge. Du sang qui semblait venir des deux êtres enlacés. Orestre ne comprit pas. Cela ne pouvait être vrai. D’où ce sang venait-il ? Il ne fallu pas longtemps à Orestre pour découvrir, accrochée à une chaine de fer, se balançant au dessus des deux êtres, une poile noire ouverte au niveau du ventre, les yeux exorbités et la langue pendante. Quelques gouttes de sang s’échappaient de temps en temps du corps de la poule scarifiée, tombant sur le dos du jeune homme sont Orestre connaissait l’identité. Orestre s’approcha encore plus près, arrivant à hauteur des Mages, comme elle se les appelait. Et quand la femme tourna vers elle un regard dépourvu de vie, la petite fille ne pu s’empêcher de pousser un cri strident qui résonna dans la pièce. Le silence tomba soudainement, tandis qu’Orestre avait l’impression qu’on la poignardait dans le ventre. La femme, allongée sur le sol, sous le corps de son propre frère, c’était en fait sa mère. Sa très chère mère. Et soudain elel sentit deux mains puissante l’attraper aux épaules et la tirer en arrière. Puis deux autres mains l’attrapèrent aux poignets et la tirèrent dans touts les sens, comme si les mages tentaient de la démembrer en lui arrachant les membres un par un. Et c’est quand sa mère se redressa et qu’elle hurla « Tuez-la ! Tuez-la ! » qu’Orestre sentit grandir en elle une force incroyable. Une force qui s’échappa d’elle et s’abbati sur les mages qui crièrent de douleur tendis que leur corps se tordaient en deux. Un pouvoir qu’Orestre n’avait jamais soupçonné, mais qui s’était manifesté au moment même où elle avait été trahi par les deux êtres qu’elle aimait le plus au monde. Orestre ne comprenait pas, et son pouvoir semblait se manifester et se contrôler de lui mêm, tandis que les mages, et son frère avaient l’impression que leur cervelle allait exploser d’une minute à l’autre. Orestre criait le nom de sa défunte mère. Et soudain une lumière aveuglante envahie la pièce et les plongea tous dans une inconscience totale.
Ils étaient tous morts. Tous. De la « main » d’Orestre. Sans qu’elle le veuille. La petite s’est réveillée quelques heures plus tard, au milieu de ce tas de cadavres, la main de sa mère tenant la sienne…
C’est à partir de ce moment qu’Orestre a basculé de l’autre côté. Il n’y avait plus que violence, haine, et vengeance. Elle ne prononça plus un mot depuis ce jour là. Elle ne ressentit plus aucun sentiment humain aussi. La seule part d’humanité qui resta en elle est en fait porté sur elle. Un petit médaillon qui contient la photo de son défun père.
Elle a arpenté son pays, de fond en comble, tuant tous ceux qui s’opposait à elle sur son passage, améliorant ainsi son pouvoir dont elle ne connaissait pas l’origine. Jusqu’à ce qu’elle entende parler d’une académie pouvant l’aider à comprendre. L’espoir revenant, elle est alors partit sur le chemin de l’académie, espérant y trouver quelques réponses. La voilà donc en chair et en os dans l’académie des trois sœurs. Il faut juste espérer qu’elle ne devienne pas trop skyzophrène durant son séjours à l’académie…
Animal ? Arme ? : Orestre ne posséde aucune arme, et aucun animal. Le pauvre risquerait de se retrouver les quatres pattes en l’air la langue pendante… Donc vaut mieux pas …
Sam 22 Sep - 11:24
