Reparation de la colonne.

-Val arriva avec une jeune fille derriere lui. Il frappa a la porte, ce qui lui decocha une grimace. La colonne etait recreer, mais les morceaux restant etaient eparpillés dans le bas du dos, dans les muscles, c'etait presque un miracle que Val marche encore.-

Elle l'avait suivi oui en effet et en silence biensur. Elle éait telle une ombre, son ombre. Présente mais étrangement comme intouchable. Elle s'arrêta juste en retrait de lui. Légérement sur sa gauche, elle perçut une nouvelle fois la douleur qui pouvait enserrer son être.

Lorsqu'il frappa une premiére fois, elle vint apposer sa main droite sur la sienne. Qu'il cesse. Doucement elle lui abaissa la main alors. Et c'est elle qui voint à frapper à la porte sans un mot sans un regard pour lui.

-Il la laissa faire, sans un mot egalement. Et habillé comme ils etaient, de noir, ont aurait dit un film en noir et blanc muet...

Elle frappa a la porte pour lui, mais il aurait aimé avoir plus de contact avec elle, lui tenir la main, simplement, sentir contre la sienne une autre peau, douce et parfumée.
Mais c'etait la douleur qui prenait le dessus pour l'instant. Ce necromant, comment deja... Gyasi, allait payer. Et Val irait demander precisement a Hanae pour la venger elle aussi...-

Oui, un film ancien. Pellicule jaunie et incertaine, mouvements lents, regards qui parlent, interprètent. Oui c’était bien cela entre eux. Sa main délaissa alors la porte, revenant se perdre dans les plis sombres de sa jupe. Sa jumelle, quand à elle, résidait toujours sur cet autre crispée et fermée.

Il avait mal. Elle le savait, elle le ressentait. Comment ? C’était ainsi. Et puis il fallait être aveugle pour ne pas s’en rendre compte. Il était pâle, les traits tendus et il avait une démarche saccadée et crispée. Elle n’avait aucune idée de ce qu’il pouvait avoir ni de comment cela était parvenu mais elle était certaine d’une chose, sa souffrance.

Désormais à ses cotés, épaules contre épaules presque, elle tourna son minois vers lui. Sous cette proximité, elle offrait la vision de son être complètement. Son regard de jade aux nuances d’or se releva alors sur le sien. Traits fins et délicats, lèvres pleines et scellées, nez aquilin, pommettes hautes, une beauté telle les sculptures romaines ou grecques.

Elle hésitait. A quoi ? A rester prés de lui, lui dont elle ne savait rien même pas le prénom. Elle risquait elle aussi cette souffrance. Comment ? Par le contact de leur peau. Mais cela elle était la seule à le savoir. Elle était tiraillée. Partir ou le soutenir. Peut être qu’il se passerait rien ? Ce n’était pas systématique après tout et heureusement…

Sans un mot ni un sourire, elle vint entrelacer ses doigts aux siens, sa main sur la sienne. Peau douce et chaude qui se fit alors sentir. Aucune pression juste une présence. Présence fluette comme ce parfum d’orange te de cannelle qui émanait de sa peau, de sa chevelure soyeuse aux couleurs d’ambre et de violine qui s’éveillait, flamboyait en séchant.

Elle retint un instant son souffle. Son cœur aussi cessa de battre. Rien. Rien il ne se passa justement rien. Pas de douleur, pas de flash, pas de lien. Bien, ainsi elle restait là, prés de lui, main dans la main si l’on puis dire. Elle espérait que l’infirmière était là.

Nombre de messages : 70 Age : 29 Date d'inscription : 26/04/2007

La porte s'ounrit d'elle meme, Dévoilant au reguar des jeunes gens une longue piece a colonade et grande fenetre. 10 lits a baldaquin étaient disposé le long du mur chacun séparer par des paravents. Ici et la on retrouvait des armoires remplie de potion. Des bocaux remplis de formol contenait des foetus de licorne, et d'autres créatures fantastiques. Des carnes d'humain, d'elfe, de loup-garoux servaient de compresse livre.

L'infirmiere était a l'autre bout de la piece, a surveillé une série d'expériences. Le fantome ne se retourna meme pas et de sa voie profonde et détaché elle dit:

Entrez, n'ayez pas peur... j'en ai encore pour un instant...

Elle fit de grand signe dans les air de la main

prennez place sur le premier lit...

Elle posa ses gants , ses lunettes, se défit du tablier gris couvert de brulure, et taches d'explosions. Et vien enfin pres des deux momes. Elle les observa de bas en haut...

Bon On m'explique ce qu'il c'est passé?

-Il n'eut que peu de temps pour apprecier le contact avec la jeune femme, dont lui non plus ne connaissait rien, si ce n'est son visage qui lui semblait d'ange. Val avait senti son hesitation, mais il ne savait pas pourquoi, et au fond, il ne desirait pas le savoir. Enfin, cela, c'etait avant que "l'infirmiere" ne fasse son apparition.
Val relegua alors son attention sur la forme etherée.-

Colonne vertebrale brisée, surment dans les lombaires. Je suis createur, j'ai pus synthetiser de l'os, mais les eclats eparpillés ont surment traversés des muscles. Et ca fait un mal de chien.

-Ah, un semblant de sentiment. cela "semblait" faire mal... En fait, c'etait juste extremement douloureux...-

Immuable elle était là prés de lui. Elle n'avait pas sursauté sous l'ouverture de la porte. Sa main toujours sur la sienne, leurs doigts toujours entrelacés. Sans le perdre du regard, elle fit un pas dans la piéce.

Elle le tira doucement, trés doucement dans celle-ci. Elle ne le brusquait pas, elle ne le pressait pas. Déjà elle s'arrêta pour refermer derriére lui la porte. Elle était alors toujours trés proche de lui. Silencieuse et attentive, elle détourna son regard cependant sur le lieu et sur l'infirmiére.

Tient un fantôme. Oui pourquoi pas. Puis son attention revint sur son camarade et ses dires. Oui cela devait être douloureux. Elle ne s'était donc pas trompée, il était bien créateur. Et un créateur d'un bon niveau qui plus est puisqu'il était parvenu à recréer sa colonne vertébrale.

Elle restait prés de lui, silencieuse et immobile, effacée même. Ciel que sa présence et ses maniéres devaient paraitre étrange à l'infirmiére. Qui était elle ? Pourquoi ne disait elle rien ? Drole d'enfant oui qui semblait bien connaitre le jeune homme vue comment elle lui tenait la main et aussi sur le fait qu'elle l'accompagnait ici. Pourtant, pourtant il y avait quelque chose d'étrange en elle. Mais quoi ? ...

-L'etherée pourrait les prendre pour un couple peut etre. Apres tout ils ce tenait la main. Mais en realité, il ne ce connaissait pas du tout, meme pas de nom et c'etait bien la premiere fois qu'il ce voyaient.
Quelque chose d'etrange... ca c'est sur. En eux deux, il y avait quelque chose d'etrange. Lui etait plutot... reservé, mais quand il ouvrait la bouche c'etait pour dire les choses telles qu'elles sont. Il avait l'esprit analytique on pourrait dire.

La jeune fille pouvait sembler effacée, mais encore fallait il la remarquer. Elle savait ce fondre dans le decor, alros que lui pouvait attirer un tant soit peu l'oeil. Grande qualité que de pouvoir jouer au cameleon.

Alors Val commenca a caresser de son pouce le revers de la maind e la jeune fille. Cela ne semblait pas mecanique, mais doux, et voulue-

Elle restait là, toujours immobile et silencieuse prés du jeune homme. Oui elle passait inaperçue. Elle était jolie, banal sans doute. Pourtant elle avait cet autre chose qui la fait différente et surtout étrange.

Elle était comme ailleurs. Pourquoi ? Tout simplement car elle semblait plus spectatrice qu'autre chose là dans la piéce. Mais aussi car elle ne semblait s'appliquer en rien de concret ici même. Elle était là oui mais sans l'être. Elle ne cherchait même pas comprendre pourquoi elle était venue, elle était venue voilà tout. Elle ne se demandait pas comment la colonne de son camarade avait pu être mise en piéce. Non elle attendait simplement. Attendre quoi ?

Elle attendait tant et si peu en réalité. La fin. Simplement cela, la fin de toute chose qui donne la suite. Un moment elle sembla partie loin trés loin. Puis sous la caresse naissante faitre par son camarade, elle cligna des yeux et reporta son regard sur le sien.

Jades emprisent d'or, elles rappelaient les orbes d'un chat ou d'un serpent. Inquisiteur, sondeur et perçant mais également doux, pures et tendres. Elle était tout à la fois, froideur et douceur, lointaine et présente, belle et incertaine. Ô oui elle était étrange mais bien plus étrange était la relation qui se nouait entre eux deux.

Normalement, elle aurait déjà retiré sa main. Même plus, elle ne serait venu. Etait ce du à son arrivée la veille ici ? Ou bien les évènements récents ? Aucunes idées encore. Quoi qu'il en soit elle laissera cet autre caresser sa main. Par delà le voile de sa longue chevelure qui masquait à demi son minois, elle esquissera un sourire. Si fugace et incertain que déjà il n'était plus. Avait il seulement existé ?

-A la suite des caresses, il releva la tete, dans une douleur qui pouvait sembler excquise a celui qui lui avait infligé cela. Mais le regard qu'il posa sur la jeune femme ce fit doux, rassurant, malgres la douleur qui y passait brievement de temps a autre.
Et alors sa voix ce fit entendre, un souffle chaud, alors qu'il fixait les yeux charmeurs de la jeune femme-

Je suis la maintenant...

Relavant son minois, elle eut tout le loisir de plonger son regard dans le sien. Elle n'eut aucun mal à y lire la douleur, sa douleur. Cela devait être terrible, une douleur à la fois vive et lanscinante. Fulgurante et silencieuse, en continue. Elle n'en avait aucun doute. Tout être raisonnable aurait cessé tous mouvements. Cependant lui ne cessait. o¨ce n'était pas non plus énorme, des caresses, des mouvements de mains et de tête mais cela était sans nul doute comparable à la souffrance de mille mort.

Pourquoi ? Pourquoi ne restait il pas tranquil ? Et pourquoi ces mots ? " Je suis là maintenant". Attendait elle quelque chose ? Oui, non , peut être. Etait ce liu ? Non, enfin. Auncune idée. Pourtant....

Elle inspira alors profondément et baissa son regard. Puis elle le releva sur le sien de nouveau, il s'embrasa d'or. La douleur alors diminua en intensité en cet autre, se faisant plus silencieuse et moins violente.

C'est alors qu'elle se crispa. Tout d'abord sa main en cet autre, puis son dos et enfin ses yeux qui se plissérent toujours perdu dans ces autres. Elle avait fait appel à son don d'empathie. Prendre un peu de cett douleur pour soulager un peu cet autre. Elle ne montrera rien de plus que ces légres crispements sous la douleur qui l'envahissait alors.

Pourquoi avoir faite cela ? Pitié ? Oui peut être. Gentilesse pure. Oui aussi. Qui sait avec ...

-Sentant cela, apres une courte periode de repos, et une autre de reflexion, il lacha la main de la jeune fille, coupant tout contact, esperant briser l'effet du don. Oui, il ne voulait pas qu'elle souffre. Elle n'avait rien a voir avec cette douleur, elle n'y etait pour rien, elle ne devait pas payer, cela devait lui revenir a lui, en lecon.

il ne regardait plus la jeune femme, laissant son regard devier ailleurs. Il tenta meme de repousser la fille. Il ne voulait pas la voir souffrir, il devait payer seul.-

Et voici que sa main se fera délaisser. Le lien immédiatement prend fin. Cependant la douleur persiste un peu encore en elle. Immobile et surprise, elle cligna des yeux. Que faisait il ? Pourquoi ? Ne comprenant ce geste, elle inclina son minois sur la droite légèrement.

Et voici qu’elle perdit désormais son regard. Son regard de nouveau se para de jade. Mais nettement plus foncé qu’à l’accoutumé. Sombre jade, regard de colère. Colère ? Oui dans un sens. Elle venait d’offrir son aide volontairement et l’on l’avait refusé. Pourquoi ?

Quelle idiote ! Jamais elle ne faisait cela pourquoi l’avoir fait là. Non elle n’aurait du. L’humanité se complait dans ses maux et sa douleur. Elle le sait, elle en fait partie. Et pourquoi être venu ?! Elle n’aurait du non !

Pourtant elle ne partira ni ne dira ou fera geste. Soit on la refuse, une fois de plus ou de moins cela ne change rien. Elle tourne les talons et ira prendre place non loin. Et non elle ne part cependant. Pourquoi ? Espoir de voir cet autre souffrir sous les gestes de l’éthérée ? Non elle n’aime la souffrance gratuite. Comme cela en fait. Maintenant qu’elle est entrée dans l’acte elle attendra sa fin pour se retirer.

Elle prend donc place sur le bord d’un des lits. Silencieuse et de nouveau immobile. Son regard quittera le jeune homme rapidement pour se perdre sur le sol et sera voilé par ses longs cheveux. Mains jointes sur ses cuisses dans les plis de sa jupe, elle attend.

Nombre de messages : 70 Age : 29 Date d'inscription : 26/04/2007

*l'infirmiere se penche sur l'éleve et entre sa main dans son ventre elle farfouille sans que celui ci ne sente qu'un immence froid en lui. Elle s'éxcarte, sort un pot d'une armoire, y plonge une cuillere. *

a oui en effet tu n'avais pas tord.... bon...
Ouvre la bouche t'en aura besoin.

* La cuillere vient s'engoufré dans la bouche du malheureux. C'est de l'antit douleur. la main translucide se replonge dans les entres du petit. Elle s'occupe de chaque morceau perdu, et les remontes a leur place*

C'est encorre mieux qu'un puzzle!!!

*Et elle glousse tel une enfant. Quel macabre jouissance*

-Il grimace au gout immonde de l'anesthesiant. On aurait dit de la terre, ver compris, melangée a du souffre et aggrementée de poivre. Mais il bne fallait surement mieux pas demander la composition, de peur d'y trouver effectivement ces ingredients...

Il supporta le traitement un peu barbare qui lui fit l'infirmiere. Plutot d'infirmiere, il s'agirai plus d'une folle qui connait un peu l'anatomie et qui fait mumuse avec ses patients...-

Nombre de messages : 70 Age : 29 Date d'inscription : 26/04/2007

*elle sort ses main du jeune corp.*

voila ca c'est fait...

Je vais te faire une atele a présent... et tu devra te moderer dans tes mouvements

*elle sort des bandages ainsi que des lates de bois consue a cet effet. Elle ambale soigneusement le gosse. s'inquiettant de temps a autre de ne pas avoir trop serrer. Une fois le bandage fini elle se précipite sur une étagere et en extrait une bouteille faite d'oselet. Elle en verse un peux dans un verre qu'elle dilue avec de l'eau et l'offre au jeune homme.*

Voila qui te fera du bien...

ho j'oubliait

*elle sort une paille et la met dans le verre*

tu devras boire 1 dose de cette fiole matin midi et soir

*Elle glisse le flacon et une boite de cachou dans un petit panier en osier qu'elle remet a la jeuen fille qui l'acompagne*

Voila voila

*ensuite elle aide le patient a se lever*

-L'effet de l'anesthesiant commence a se dissiper, lentement, insidieusement... Le mal grondant dans le bas de son dos fait grimacer Val quand il ce releve, un verre a la main, une sorte de cocktail qui semble explosif pour la santé.

Apres quelques remerciements, il ce dirige vers la porte, maintenue droit par la planche et les bandages, facon Playmobile un peu. Il sirote un peu de sa mixture et regrette aussitot. Ca a le gout de reglisse...
Val DETESTE le reglisse.
La boite de cachou aussi, faudra penser a la faire voyager a l'autre bout du monde tiens...-

Elle regardera tout d'abord évasiment les agissements de l'Ethérée. Puis elle y prêtera plus grande attention. Pas besoin d'être un génie pour se douter de la douleur potentiellement ressentissable alors. Sa main se crispera dans les soieries de sa jupe. Son poing se serre, se serre, mais elle rien d eplus, pas de grimace, pas d'émotions qui vient paindre son minois.

Pourtant elle comptit en silence à la douleur du garçon. Bien cela semble prendre fin. Son regard dévie alors. On oublie d epenser, on s'évade, on bug. Un solide, c'est inerte, on baisse le regard. Un pannier en osier sur les genoux et l'infirmiére qui s'en va reprendre son activité.

C'est finit ? Oui il semble que oui. Qu'a telle dit déjà ? Elle n'en sait rien et c'est quoi ce pannier ? Un regard sur le garçon. Si elle fut impulsive et expressive sans doute aurait elle rit de la vision mais nullement méchament bien sur.

Elle se laisse glisser du lit, ses petit pieds reprenant consistance au sol. Ses doigts se referment d'instinct sur l'ance du pannier, manquerait plus qu'elle le fasse tomber.

Sans un mot, on approche, on devance même. On ouvre la porte et on attend au dehors. Cela ne doit pas être ni agréable ni indolore. Pas besoin d'empathie pour le savoir. Empathie qu'elle n'utilisera pas bien sur. Pourquoi le faire ?

Déjà qu'elle l'attend, elle le suit une nouvelle fois. Trop bonne ou gourde.

Nombre de messages : 70 Age : 29 Date d'inscription : 26/04/2007

(amour ,gloire et beautééééé)

» reparation de bras xD
» Réparation d'urgence d'une main...