Deambulation...

Invité

* un cocon, une chaise défoncée, cest pas grâve, pour lui l'autre val qui arrive ça ne le dérange pas tout ce qui se passe dans sa tête cest une cogitation dans sa tête *

" mhhh un cocon de roche.... "

* et le voici s'en allant comme si de rien était suivant cya mine de rien était *

-Apres leur depart, Val s'assit sur une chaise et tout d'un coup, il sembla inanimé, sa tete retombant legerement vers l'arriere, les yeux clos.
Alors le cocon ce retracte, laissant le premier Valentin en ressortir, ce tenant le bas du dos.
Un clone? aurait il reussit a creer un clone de lui?
En effet. Val a mis enormement de temps a le construire, il lui fallait tous les ingredients d'un corps, 35litre d'eau, 20 kg de carbone, 4L d'amoniaque, 1.5 kg d'hydroxyde de calcium, 800g de phosphore, 250g de chlorure de sodium, 100g de nitrate de potassium, 80g de soufre, 7.5g de fluor, 5g de fer, idem en silicium... Ce qu'il n'avait pu trouver, il l'avait créé. Simplement? Non, surement pas. Il avait trouvé un vieux grimoire dans un manoir abandonné d'où il avait pu tirer une foultitude d'informantions, où, comment trouver ou creer ces pieces.
Apres son apparition, il ce leva, en s'appuyant sur un banc. Il avait pu recreer sa colonne, mais les morceaux d'os eclatés, il ne pouvait les faire revenir a leurs places... On fera avec desormais.-

Sans vraiment se presser, une fois encore, elle parvint sans trop de difficultés à trouver le réfectoire. Elle pénétra donc dans celui-ci calmement. Elle n’avait pas spécialement faim. Depuis déjà un peu, elle picorait plus qu’elle ne mangeait. C’était ainsi. Elle n’en avait plus réellement faim. Comme beaucoup d’autre chose elle ne faisait cela que par obligation. Oui il le fallait un peu pour rester en vie soit disant.

Elle s’immobilisa sous peu. Elle laissa alors errer son regard sur l’endroit. Curieuse sans vraiment l’être. Mais tient voici que son regard s’immobilisa par la suite. Pourquoi ? Pour qui plutôt. Sur ce garçon non loin. Il ne semblait très bien. Oui et alors ? Rien.

Non ce qui était intéressant c’était son autre lui-même non loin et ce cocon dont elle le vit sortir. Pas de toute possible pour elle, il était lui aussi créateur. Pourtant elle ne bougera pas ….

-Val marqua une pause, il reflechissait aux derniers evenements. bon, une psyon (sasn doute qon attaque mentale) et un necromant. Les deux sont d'une... perversité malsaine, sadique a bloc, n'hesitant pas a mettre en pratique ce qui peu etre si facilement dit. Sur ce point, il avait reussi son test. En effet, ils ne font pas que dire, ils tentent d'experimenter. A surveiller. Et prevenir les autres. Il ne faudrait pas que de jeunes inconscient tombent dans leurs filets... Val pensait aux autres eleves? Il n'etait peut etre pas si solitaire. Ou du moins, solitaire mais solidaire.

Prenant son courage a deux poings fermés bien fort, il ce leva en grimassant. Non, il ne pourrait pas tenir longtemps avec des eclats d'os dans le dos. Peut etre bientot la paralysie. Il fallait qu'il ce repose pour voir ce que cela ferait et consulter si besoin est ensuite.

Il remarqua la jeune femme qui entra. Elle etait belle et seduisante. Mais semblait tres monotone et nostalgique. Comme lui. Ainsi il y avait d'autres personne qui avaient vecu des choses proches des siennes ici...-

Belle ? Oui sans doute. Séduisante ? Peut être mais l'effet n'était nullement recherché. Il l'était rarement en fait. Avec elle s'était fort simple : on l'aime ou non, elle plaitou non, qu'importe tout cela. Etre seule ne la dérange point, au contraire même pourtant elle n'est pas asociable, juste renfermée. Bref ce que l'on pense d'elle n'est guére important pour sa vie.

Demoiselle à la chevelure auburn, trempée mais soigneusement peignée et lissée en son dos. Elle sort certainement des bains. Longue jupe noir, chemisier cintré bordeaux, ballerines noir à lacage aux chevilles par d'épais fils de satin. Quand à son minois, il n'était que peu accessible aux regards. On pouvait cependant voir des lèvres pleines et scellées dans l'impassibilité pure, des traits fins et délicats et surtout un regard perçant même de cette distance mais à la couleur indéfinissable d'ici. Oui elle semblait bien sombre. Pourtant on aurait put dire qu'elle rayonnait à sa maniére. Sombre clarté ...

Elle ne semblait pas encline à bouger ni à parler encore. Mais son attention se porta sur ces poings serrés et cette douleur marquant le visage du jeune homme. Intéressée sans doute, intriguée mais nullement affligée pour lui.

-Il n'allat pas jusqu'a remarquer toute la beauté de la fille, etant legerement occupé par la douleur qui lui tenaillait le dos. Et meme, plus que des tenailles, c'etait plutot des griffes qui semblaient lui lacerer les reins.

Il fit quelques pas, les poings serrés contre lui, avancant vers la jeune fille, ou bien vers la sortie? Tout compte fait il s'arreta un moment devant elle, lui lanca un regard, et ce dirigea vers la sortie, serrant encore les dents. Oui, la douleur etait bien presente. Trop peut etre. Il n'irait pas ce reposer mais aller directement à l'infirmerie. Il ce voyait mal a user de son pouvoir pour simplement marcher...-

Elle ne bougea devant l’avancée du jeune homme. Elle ne cessa de le regarder. Il vint s’immobiliser un instant face à elle. Elle put alors planter ses orbes de jade dans les siennes. Douce similitude. Pas un sourire, pas un mot, pas un geste. Une simple fragrance vint danser vers lui, cet autre. Odeur de cannelle et d’orange, parfum chaud et doux, envoûtant.

Elle le laissa s’éclipser vers la sortie. Il souffrait, elle le savait. C’est comme si elle pouvait le ressentir. Son regard lentement se baissa sur le sol. Une fois encore elle ne le regardait pas. Puis elle tourna à son tour les talons. Elle s’en allait ? Oui également. Elle n’avait donc pas faim. Si peut être sans doute.

Elle vint alors marcher prés de lui en silence. Que faisait elle ? Elle l’accompagner. Où ? Elle n’en savait rien mais sa souffrance était tellement palpable qu’elle ne pouvait le laisser partir ainsi. Elle serait juste là donc au cas où …

-Il marcha doucement, semblant presque fier, il essayait de ce tenir droit, malgrés son dos. Il allat a l'infirmerie, conscient de la jeunne femme qui le secondait, sans savoir pourquoi, sans vouloir savoir pourquoi peut etre. Ou bien il ne le savait que trop bien et aucun mot n'expliquait cela.

Il ariva a l'infirmerie-