Arekisu déposé par Kameko [libre ?]

Ainsi, Kameko, détenant dans le creux de ses bras un jeune homme dans un état déplorable, s'avança vers un lit, le visage regardant incessamment dans les coins et recoins de l'infirmerie, à la recherche de l'infirmière. Elle n'est pas là ? Etonnant pour la part d'une infirmière...
Ainsi, elle dépose doucement Arekisu sur le premier lit, se rappelant alors ce jour où, aidée de Keitaro, elle avait aidé son tendre amour à ne pas sombrer dans la Mort.
Tant de circonstances qui l'enmène à se rappeler d'un passé qu'elle sera peut-être durement contrainte à oublier...

Le regard d'abord posé sur Arekisu, qui semble maintenant pris d'un sommeil calme et paisible, elle tourne ensuite son visage vers la fenêtre, regardant dehors. Les reflets du soleil miroitent doucement sur la vitre, laissant ainsi une tendre luminosité emplire la pièce d'une chaleur agréable.
Elle ferme les yeux, soutenant sans peine cette sensation agréable qui caresse doucement son visage. Rien ne semble alors laisser deviner ce qui se passera ensuite.
Si seulement quelqu'un pouvait arrêter le massacre prêt à venir...

Perdue dans ses macabres pensées, Kameko sursauta à l'entente d'un bruit fort et soudain ?
Que se passait-il donc ? Arekisu était rêveillé ? L'infirmière se montrait ?

Createur Nombre de messages : 215 Age : 31 Date d'inscription : 19/12/2007

Un grand bruit venait de secouer la scene, c'etait un verre d'eau posé au niveau de la table de nuit a coté du lit qui venait de chuter, Arekisu etait encore inconscient mais il bougait, il luttait contre quelque chose qui le terrifiait, enfin ce n'etit pas de la terreur c'etait autre chose

-Non, n'approchez pas, je protegerai mon village, vous n'avez pas a y etre, arrêtez vous ou j'attaque, STOP

A ce moment Are faisait de mouvement de taillades et de parades, il suait a grosse goutte, peu de temps apres, les bras retomberent chacun de leur coté, le jeune createur parlait alors

-Pourquoi me battez vous, pourquoi vous me lancez des pierres, je suis l'un des votres, j'ai sauvé ce village, arretez, arretez sil vous plait

Kameko qui etait a coté ne comprenait pas grand chose, il lui manquait une partie de l'histoire, mais elle pouvait se douter que l'adolescent revivait son passé en reve, dans ce reve, les villageois le battait en le traitant de monstre, et certains lui lancaient des pierres, mais d'un coup Arekisu se reveilla en sursaut avant de retomber mollement sur le lit, conscient mais affaibli par la fievre, il grelottait encore mais sa allait un peu mieux qu'avant ...

Kameko avait regardé la scène sans broncher, contrainte entre l'étonnement et l'exitation de voir Arekisu dans cet état là. Evidemment, elle ne comprenait pas ce qu'il se passait chez le jeune homme, mais il lui en avait suffisamment raconté pour qu'elle comprenne quand même la teneur des propos d'Arekisu.

C'est alors qu'elle le vit se redresser, et rechuter. S'approchant doucement d elui, elle vit alors qu'il était conscient, mais qu'il grelottait. Elle n'avait pas besoin de poser sa main sur le front du jeune homme pour deviner qu'il avait de la fièvre.
Elle se leva alors en déclarant un bref " je reviens. " et elle partit dans la salle d'à côté. Elle revint quelques instants plus tard, une fiole à la main. Que contenait-elle ? Du poison, ou quelque chose qui pourrait aider Arekisu à aller mieux ? A lui de savoit s'il devait lui faire confiance à ce moment-là.

Elle s'approcha de lui, ouvrit la fiole qui contenait un liquide légèrement opaque, mais de couleur assez rougeâtre, et l'approcha doucement des lèvres d'Arekisu.

" Tient, bois "

Elle ne laissait voir aucune emotion. Arekisu devra choisir entre boire... ou ne pas boire...

On entendit dans le couloir menant à l'infirmerie des pas de courses... Comme une personne désespérée. Puis la porte s'ouvrit dans un grand fracas sur un homme plutôt grand, les cheveux blancs, son corps portant du sang. Le sien ? Celui d'un autre ?

L'homme qui venait d'entrer tenait dans sa main droite une épée... La lame ensanglantée... Un tueur ? Non ! C'était Calintz ! Les yeux étant violette sombre, la pupille droite comme un " i " mais autour de la pupille une couleur bleu s'y trouvait. Posant son regard sur Kameko et l'autre homme il dit par la suite comme essouflé

" Kameko arrête ! "

De quoi parlait-il ? Chose sûr il était pas dans son état normal... Du moins il ne l'était plus depuis un événement ... Il s'approcha des deux personnes. A chaques pas le sang coulait sur le sol marbré. Pourtant son visage était des plus dur, il était sérieux et même déterminé. Enfin il revenait après se long moment d'abscence...

Kameko se tenait devant Arekisu, prête à lui faire boire le liquide étrange qu'elle avait elle même concocté. Elle ne prit pas garde aux pas de courses que l'on pouvait entendre dans le couloir et qui se rapprochait de plus en plus de la salle. Enfin elle allait se venger. Enfin elle allait mettre un terme à la vie d'Arekisu.
Elle approcha le flacon au bord des lèvres du jeune homme. Déja il pouvait sentir le contact froid du flacon de verre sur ses lèvres. Aussi faible qu'il était, Arekisu ne pouvait pas refuser. Il serait contraint de boire.

Alors elle entendit la porte s'ouvrir, et cette voix qui lui demanda d'arrêter. Sur le coup, elle ne prit pas garde, mais lorsqu'elle cogita enfin et qu'elle reconnue la voix qui venait de l'interpeller, son sang ne fit qu'un tour, et son visage, autrefois impassible, redevint le regard qu'il était auparavent. Un regard où reignait la peur, l'etonnement, l'égard.
Elle arrêta alors son geste, et tourna lentement son regard vers Calintz, les larmes aux yeux.

Le flacon lui échappa des mains et glissa le long de ses doigts pour venir s'échouer sur le sol en un bruit de verre cassé. Une légère fumée rouge s'échappa du liquide en bruit de vapeur. Le sort qui était reservé à Arekisu...

Ses yeux redevinrent le bleu profond qu'ils étaient, et incapable de faire un seul geste, Kameko resta là, accroupie devant Arekisu, le regard posé sur son bien aimé. Enfin il revenait. ELLE avait eu tord, il ne l'avait pas abandonnée.

Et enfin elle posa son regard sur Arekisu, et murmura un léger " pardonne moi Are. " honteuse de s'être laissé avoir encore une fois.

Elle se lève alors, et d'un pas rapide se dirige de nouveau dans la salle d'à côté, mais cette fois-ci, ce n'est pas pour aller quelque chose qui irait à l'encontre d'Arekisu, mais plutôt pour l'aider. Un linge mouillé d'eau froide à la main, elle revient dans la première salle, se demandant où peut bien être fourrée l'infirmière, et pose doucement le linge humide sur le front d'Arekisu, espérant que cela lui fera du bien.

Un peu perdue, elle regarde alors Calintz, ne sacha,t pas très bien si elle devait lui en vouloir de l'avoir laissé seule durant tous ces mois, ou si elle devait mettre directement un trait sur cette histoire. Mais le moment n'était pas venu, elle devait penser à Arekisu. Elle s'expliquera avec Calintz après. Même si elle sait déja comment leur conversation finira.

Elle laisse alors échaper un soupir, et demande :

" Tu crois qu'il va vite s'en remettre ? C'est étrange ce qu'il a... des sortes de convulsions, et... il revoit son passé en rêve. Ca le met dans cet état lamentable. "

Elle s'assit alors au bord du lit, sa main gauche posée sur le front d'Arekisu pour prendre partiellement sa température, son autre main posée sur ses genoux, espérant que Calintz s'approche d'elle. Qu'elle sente d'avantage sa présence, depuis le temps qu'elle attend ce moment.

Arekisu semble aller un peu mieux. Se reveillera-t-il enfin ? Elle l'espère. Cette situation la met vraiment mal à l'aise, surtout qu'en sachant qu'Arekisu est vulnérable, l'Etre aura tendance à vouloir profiter de la situation...
Mais elle sait que tant que Calintz sera près d'elle, elle saura se contrôler. Combien de temps le pourra-t-elle encore ?...

Calintz s'approcha de Kameko et de Arekisu. A chaques pas, il laissait derrière lui uen trainée de sang à cause de ses blessures profondes faîtes par une arme particulière : l'épée qu'il tenait dans sa main. Calintz lâcha un soupir de soulagement voyant qu'il était arrivé à temps et qu'il venait d'empêcher une catastrophe. Laquelle ? Il l'ignorait à vrai dire mais il savait que sa douce n'était pas elle-même.

Il posa son regard remplit de tristesse et de reproche envers sa personne en voyant Kameko. Il se reprochait d'avoir OSE laisser sa tendre dans un moment pareil alors qu'elle avait besoin de lui. Alors que lui, il s'était mis en retrait afin de chercher des réponses à ses question comme un sale égoïste ce qui fait qu'il avait disparut pendant autant de temps. Il ferma quelques instants les yeux écoutant la voix de la Belle. Cetet voix qui lui avait tant manqué... Mais il ne répondit pas de suite à Kameko. D'abord il posa son épée sur une table et grimaçait parfois dans ses mouvements à cause de l'imense douleures que ses blessures profondes lui proccuraient au contact de l'air. Calintz fit ensutie volte face pour fixer uen fosid e plus Kameko dans les yeux et dire sur un ton de reproche, toujours envers lui-même :

" Je l'ignore Kameko... Je ne sais pas... Tout ce que je sais... C'est que tu n'étais pas toi-même et que je devais venir pour t'arrêter à temps de faire une bêtise. Laquelle ? Je l'ignore... Mais... Pourras-tu me pardonner d'avoir pu te laisser si longtemps seule ?... "

Calintz tomba à genoux non pas qu'il était à bouts de force loin de là, mais de fatigue. Malgrès que le sang continuait de couler de son corps il se contenait, luttait pour ne pas céder à cette douleure. Il posa son regard sur Arekisu, posa une main sur le cou de ce dernier afin de sentir le pou. Calintz ferma les yeux pour ce concentrer d'avantage puis rouvrit les yeux et dit d'une voix un peu plus faible comme un chuchotement :

" Je pense qu'il pourra s'en sortir... Il a surtout besoin de repos... "

Calintz se releva et manqua de tomber à nouveau mais reprit son équilibre de justesse. Il grimaça cette fois-ci puis reposa son regard étrange qui n'avait pas encore changé sur Kameko. Il s'en voulait tellement de l'avoir abandonné dans des circonstances pareille... Il voulait même s'étrangler mais il s'avait que la seule à faire était de tout faire pour rattraper ce temps perdu et de ne plus jamais la laisser seule. Il dit une fois de plus en baissant la tête :

" Pardonne-moi ma Belle... "

Kameko regarde Calintz s'approcher de la table, poser son épée ,et tout ce qu'il fit ensuite. Mais à vrai dire, elle ne faisait pas attention à ce que Calintz faisait, mais plutôt à ce qui se passait derrière Calintz, ou plus précisemment sous ses pas.
Du sang !! Il y a du sang sous les pieds de Calintz. Et ce sang ne vient pas de n'importe où.
Le regard d'abord posé surle sol, Kamkeo redresse alors son visage, regardant Calintz de face. Et c'est alors qu'elle se rend compte que Calintz est couvert de blessures.

D'où lui viennent-elles ? Elle l'ignore. Tout ce qu'ele sait c'ets qu'elle ne peut pas laisser ça comme ça.
Elle se redresse alors et s'approche de Calintz d'un pas rapide, attrapant de sa main droite l'épaule de Calintz, et de son autre main la hanche de son bien aimé.

" Qu'est ce qu'il s'est passé ? Qui a osé faire ça ?? "

L'approchant alors d'un lit, tout en demandant cela, elle s'assoit à côté de son tendre amour, et, la main plaquée sur les multiples blessures de Calintz, elle se concentre alors sur son pouvoir. Une lueur rouge ne tarde pas à se manifester, et Kameko ne met pas longtemps à soigner ces plaies. Ses yeux plantés dans ceux de Calintz, elle écoute alors ce qu'il dit, baissant parfois les yeux aux réflexions qu'il fait.
Oui, evidemment qu'elle lui pardonnera. Elle ne peut pas se résoudre à le laisser seul, lui, alors qu'elle sait pertinemment ce que ça fait d'être abandonnée par sa moitier. Ainsi, ELLE avait raison, mais en partie seulement.
Soulagée, Kameko ose alors un sourire. Depuis de smois qu'elle n'avait pas sourit on pu enfin revoir la fraicheur et la gaieté de Kameko sur son visage.

Arekisu semble aller mieux, et Calintz est sur qu'il s'en remettra, s'il se repose. Alors tout va bien. Il ne reste plus que deux problèmes. Pour l sien, elle en parlera peut-être plus tard.

Kameko approche alors doucement sa main sur la joue de son tendre amour, et, toujours avec son sourire, elle dit :

" Calintz, tu n'as qu'une seule chose à faire pour que je te pardonne. Raconte-moi ce que tu as fait pendant ces trois longs mois. Tu n'es pas parti pour rien. Ces réponses, tu les as trouvées ? "

Elle verra ensuite ce qu'elle fera pour son problème, et si elle pardonnera pleinement à Calintz.

Calintz s'assit donc sur un lit, laissant Kameko le soigner. Pour le moment il gardait le silence mais il redoutait bien qu'à un moment ou un autre Kameko lui demanderait les raisons de sa si longue abscence. Il ferma les yeux et attendit un petit moment avant de répondre dans un soupir

" Pour tout te dire, c'est moi qui me suis faîtes ces blessures... Afin de sortir du monde dans lequel j'étais connecté... Un monde où ce n'est pas tout le monde qu'y a accès... C'est comme une connection dans un autre plan... Enfin c'est assez compliqué.. Il va falloir que je fasse des recherches là-dessus d'ailleurs mais ce n'est pas là l'important. Dans cet autre monde les blessures sont à la base psychiques mais plus elles sont " puissantes " plus elles se manifestent matériellement...
Concernant les réponses que je cherchais, j'en ais trouver beaucoup mais ces réponses font que je me posent à nouveau des questions. Et pour y répondre j'aurais besoin de me rendre dans la bibliothèque voir même les archives de cette dernière et même certains livre interdit aux élèves... "

Calintz regarda Kameko dans les yeux. Il aimerait bien la serrer contre lui mais il attendrait que sa Belle le guérisse entièrement. Une fois celà fait, il déposa Arekisu sur un lit afin qu'il se repose puis revint vers Kameko et ajouta

" Et toi Kameko ? Que c'est-il passé ? Si je suis revenu c'est aussi parce que j'ai sentie que tu étais comme... Au bord du gouffre... "

Kameko écoute la réponse de Calintz, les yeux fixés dans ceux de ce dernier. Bien qu'elle n'ai pas vraiment comprit son histoire de plan, elle retenu quand même l'essentiel : il aurait besoin d'aller à la bibliothèque, pour trouver ses réponses. Cela voulait dire qu'il ne retournerait pas dans son... " autre monde ". Alors il ne la quittera plus.

Elle laisse alors échapper un léger soupir de soulagement, presque inaudible, le visage baissé. Puis elle redresse son regard, et les yeux bien ouvert, elle fixe Calintz droit dans les yeux.
C'est à elle d'expliquer son histoire maintenant...

Elle rebaisse alors son visage, et, tentant de contourner la question, elle préfère répondre à la question que Calintz lui avait posé avant : " Pourras-tu me pardonner d'avoir pu te laisser si longtemps seule ?... "

Un moment de silence suivit les explication et la question de Calintz. Et puis, elle se lança :

" Tu sais, à la Mort de Keitaro, j'ai appris une chose "

Son regard mélancolique se pose de nouveau sur Calintz, et elle reprend :

" Il ne faut jamais pleurer trop longtemps un être perdu, mais continuer de vivre tant qu'on le peut encore... Maintenant que je t'ai retrouvé, je ne vais pas gâcher les prochains jours à venir pour des futilités... Non ! Je veux ET je compte reprendre là où nous en étions resté, et mettre dans une partie de ma mémoire ces trois longs mois de solitude, quelque part à l'abris, là où je n'y penserai plus. "

Elle marqua une légère pose avant de finir, une légère pointe de tragédie dans sa voix :

" Mon Ange, tu sais très bien que je ne pourrai jamais t'e vouloir, npour quoi que ce soit. Je préfèrerai mourir trahie par ton coeur, mais sachant le mien dans le creux de tes mains - que m'importe ce que tu en feras -, que dignement mais déséspéremment loin de toi, mon coeur seul et abatu de ne pas être avec le tien ! "

A ce moment là, le regard homogénéisé de mélancolie de Kameko sombra dans l'hétérogénéïté. On pouvait lire d'innombrables sentiments contradictoires dans les yeux de Kameko ; un voile humide trahi l'émotion à la fois émue et éplorée de la jeune femme, mais il y regnait aussi la tristesse, la joie, la peur, le courage, la détermination, l'abattement... parmis tant d'autres.Mais Kameko savait très bien où elle en était et ce qu'elle ressentait vraiment. La seule chose dont elle était vraiment sure - et qui l'aidait à vaincre l'Être qui trônait en elle et partageait son corps, malgrès le fait que Kameko savait pertinemment qu'un jour, ça ne sera plus suffisant - c'était l'Amour qu'elle portait à Calintz. Un Amour débordant, robuste, qui faisait souvent mal. OUi, Kameko aimait Calintz de tout son coeur. Elle l'Aimait de toute son âme. D'un Amour indestructible qui allait parfois au-delà du réel. Et que lui importait ces pleurs qu'elle laissait parfois innocemment s'échapper, tant son coeur la brulait. Que lui importait ces trois mois d'absence qui l'avait fait sombrer dans un désarroi profond et une faiblesse qu'elle ne se pardonnait pas et qui avait contribué à la victoire de l'Être sur sa personne. Que lui importait la souffrance qu'elle subissait, jour après jour, en regardant par la fenêtre les alentours, chaque soir, avec le vain espoir d'appercevoir dans un coin d'ombre ou sous les reflets de la lune la silhouette familière de son bien aimé qui viendrait la rejoindre dans leur chambre commune ? Elle se moquait bien de tout cela désormais. Tout ce qu'elle voulait était là, devant ses yeux. Bien vivant. Bien réel. Et qu'il souffrait lui aussi de ctete absence trop longue mais révolue. Oui, elle n'était pas la seule à souffrir, elle en avait pleinement conscience, et quoi qu'un peu égoïste, cette vision la réconfortait.
Calintz n'avait plus que trois mots à dire pour reconquerir le coeur de sa bien aimée. Trois mots qu'il devra bien choisir, et bien exprimer. Après ça, tout ira mieux. Du moins partiellement... mais le futur reste encore à veni. Que son destin surgisse, Kameko saura faire face désormais. Elle est capable de tout quand la vie de son bien aimé est menacée.

Laissant passé quelques minutes, elle décida alors de répondre à la dernière question que Calintz lui avait posée : " Et toi Kameko ? Que s'est-il passé ? Si je suis revenu, c'est aussi parce que j'ai senti que tu étais comme... au bord du gouffre... "

Un nouveau soupir vint s'élever dans la salle, cette fois plus audible que le précédent. Elle ne savait pas vraiment comment expliquer. Surtout qu'elle savait ce qu'il se passerait si quelqu'un venait à découvrir son secret, et la nature de l'Etre qui tentait de partager la vie de Kameko, en tuant tous ceux qui se montraient un peu trop proche d'elle.

" Et bien... je... je sais pas comment expliquer. Je ne peux pas t'en parler... Sinon... "

Elle se stoppa quelques temps, et repris, le regard perdu, cherchant un échappatoire à ce tragique évênement.

" ELLE... cherche à me posséder... et à tuer tout le monde. Du moins tous ceux qu'elle sent trop proche de moi.C'est tout ce que je peux te dire, et ne m'en demande pas plus s'il te plaît. "

Ses yeux étaient maintenant embués de larmes. Calintz pouvait savoir qu'elle ne cherchait qu'à le protéger en n'avouant pas toute la vérité. Au moins, elle avait quand même réussi à être honnête avec lui.

" J'ai été trop faible... elle en a profité. Tu te souviens, ce jour-là où je me suis enfermée dans les toilettes et que j'ai tenté de mettre fin à ma vie. C'est là qu'elle est intervenu. J'étais sur le point de mourir, et le seul moyen que j'avais pour revenir et venir t'aider, c'était de la laissé prendre possession de moi, afin de partager son energie avec la mienne et de me relever. Elle n'est rien sans moi. Je suis la seule avec qui elle peut partager un corps. Et elle ne supporte pas qu'on se montre trop libre avec moi, ou qu'on se montre un peu trop proche de moi. Toi, elle ne t'a encore rien fait parce qu'à chaque fois qu'elle essaie, j'arrive à me contrôler et à prendre le dessus... "

Dans son esprit, elle pensa alors " mais combien de temps parviendrai-je à la retenir " , mais elle n'en laissa presque rien paraître.

" Mais tu es la seule personne qui me permet de me contenir. Et quand tu n'étais pas là, ELLE me disait des choses affreuses... : que tu ne reviendrai plus, que tu m'avais abandonnée et qu'il faudrait que je continu sans toi. Ma première victime a failli être Arekisu, mais s'il est dans cet état là, ce n'est pas à cause de moi... ELLE a juste tenté de profiter de l'occasion pour l'empoisonner "

A ce moment là, elle tourna son regard vers la fiole dont les verres étaient répondu au pied du lit, un liquide opaque mais légèrement rougeâtre sous les débris. La fumée s'était dissipée depuis un moment déja. Mais ça sentait quand même assez mauvais...

Calintz saisit Kameko dans ses bras et lui frotta le dos pour la réconforter. Les yeux clos il pouvait à nouveau humer son odeur après ces trois mios d'abscence. Enfin il pouvait resentir cette odeur, la tenir dans ses bras l'embrasser à sa guise. Comme le temps lui a parut tellement long sans elle. Lui même à bien cru qu'un jour il n e la reverais plus mais son esprit était toujours tourmenté, jour après jour, nuit après nuit, par le visage de sa belle moitié. Son coeur même le lui rappellait quand il devait se concentrer sur autre chose. A croire que son corps était possédé par l'image de Kameko. Calintz déposa un tendre baiser sur le front de Kameko écoutant son récit avec une extrême attention. Au fur et à mesure qu'elle avançait dans ses explications et qu'il " découvrait " en partie la vérité de cette dernière Kameko put sentir quelques larmes couler sur ses cheveux. Il pleurait ? Oui... D'apprendre qu'elle a faillit sombrer par sa faute à cause de lui...
Calintz regarda à nouveau Kameko dans les yeux et dit d'une voix faible mais déterminé, posant sa amin droite sur sa joue la caressant :

" Ma Belle... Je te le promet que plus jamais je ne te laisserais seule... Sauf si c'est vraiment nécéssaire... Mais je te jure que tu seras toujours dans mes pensées et dans mon coeur quoi qu'il advient.. Durant tout ce temps je n'ais fait penser qu'à toi... J'aimais je n'ais pu t'oublier un seul instant... Tu étais et tu es ma force, ma raison de vivre et même ma propre faiblesse... "

Calintz vint ensuite lui voler un tendre baiser pendant un bon moment puis de poser son menton sur sa tête tout en la gardant contre son torse nu. Il dit dans un murmure les larmes coulant :

" Je t'aime et je ne partirais plus jamais ainsi... Je te le promets ! "

Le visage enfoui contre le torse de son bien aimé, elle ne pu retenir de pleurer également en entendant les paroles de Calintz.
Ainsi ils pleuraient tous les deux, à l'unison. C'était la première fois que Kameko voyait Calintz dans cet état là, et ce devait être également la première fois que Calintz voyait Kameko dans cet état là aussi...
Elle devinait le désarroi dans lequel se trouvait sa chère moitier. Et elle était sur qu'il pensait que c'était de sa faute si elle s'était laissée aller à la possession. De toute façon, elle n'avait pas eu le choix. Sinon, elle serait morte depuis longtemps...

" Ce n'est pas de ta faute mon Ange. C'est moi qui n'ai pas su avoir le dessus. C'est moi qui ai été trop... faible. Trop stupide. Tu n'as rien à te reprocher. Tu me permets déja de me contenir, c'est ce qui compte le plus pour moi. "

Elle espérait ainsi, grâce à ces mots, réconforter quelque peu Calintz. Elle ne mentait pas. C'est exactement ce qu'elle pensait. Et ce qu'il était. Kameko ne se permettrait jamais de mentir à Calintz, pour quoi que ce soit. Sinon, elle n'avait plus qu'à se tuer, pour avoir trahi son bien aimé. Pour avoir trahi son coeur, et sa confiance.

" Mais ça va aller maintenant. Ca va aller... "

Elle murmura ces derniers paroles, presques étouffées. Elle savait bien que ça empirerait avec le temps, et qu'il faudrait un jour qu'elle fasse un choix crucial. Tout comme Calintz, s'il voulait l'aider à surmonter cette passe.

Les sombres jours reviennent. Kameko a faillit perdre Calintz. Maintenant c'est l'inverse... Ne seront-ils jamais tranquilles ?

Un bruit vint rompre cet instant. Arekisu semblait bouger. Mais était-ce bien réel, ou encore une de ces fichus illusions ?

Createur Nombre de messages : 215 Age : 31 Date d'inscription : 19/12/2007

" Mais ça va aller maintenant. Ca va aller... "

Un bruit sourd venait de retentir, il fut suivit de quelques toussotements et Arekisu se releva enfin, plutot il s'asseya et ne put pas bouger autre chose que les bras et le haut du corps, le bas etant encore engourdi par le long moment de non-mouvement, il resta comme cela, le dos collé a la tete du lit assez, longtemps, il reconnaissait kameko qui etait proche du lit, mais la deuxieme personne elle, lui etait inconnue, tout avait l'air de dire que c'etait lui le fameux "Calintz", mais pas de precipitation, tout d'abord, ses yeux bleus se tournerent vers kameko avant qu'Are ne lui dise

-Merci, d'avoir veillé a mon chevet, c'est gentil

Il se tourna ensuite vers calintz avant de se presenter a lui

-Je me nomme Arekisu, enchanté

L'on entendit alors un chat cracher, mais aucun chat n'etait visible, le jeune createur devina ce qui ce passait, il prit son sac et le posa sur le lit, et il l'ouvrit, Empyrios en sorti dans un miaulement de joie, il etait enfin libre, le jeune homme fit apparaitre dans sa main une balle qui lanca au chat afin de l'amuser et de se faire pardonner ...

Calintz caressait les cheveux de Kameko en silence. Du moins il était silencieux en apaprence mais intérieurement il parlait. A qui ? Il se parlait à lui-même. Oui, Calintz ne passait pas rapidement l'éponge sur un tel acte... Calintz murmura à l'oreille de Kameko avec tendresse et douceur :

" C'est de ma faute... Ne cherche pas à convaincre quand je suis conscient de la réalité et que j'en suis convaincu et persuader... Je te laisserais plus jamais seule... Plus jamais ! "

Calintz tourna rapidement ses prunelles vers Arekisu. Ce dernier sortait enfin de son " sommeil ". Même si Calintz était " déboussolé " ses sens étaient toujours en alertes, quelque soit la situation.
Calintz se décolla de Kameko et se tourna entièrement vers Arekisu afin de s'approcher de lui tout en l'écoutant. Une fois qu'il avait finit de se présenter, Calintz prit donc la parole pour se présenter à son tour :

" Enchanté Arekisu. Moi, c'est Calintz... "

Calintz afficha un maigre sourire. Non pas qu'il était déçu ou autre de voir Arekisu mais simplement que son esprit était encore tourmenter par cette histoire concernant Kameko et qu'il n'était pas là pour l'aider au moment où elle avait le plus besoin de lui.

Kameko était toujours blottie contre le corps de son bien aimé. Et d’ailleurs, elle n’avait pas l’intention de bouger de là. Trois mois qu’elle attendait de sentir son corps contre le sien, de sentir ses lèvres prendre les siennes, de sentir ses caresses lui parcourir le corps et lui donner des frissons, voir ses yeux plongés dans les siens. Trois mois qu’elle attendait ça, maintenant qu’il était revenu, elle ne le lâchera plus. C’est certain ! !

C’est alors que Calintz lui murmura sa réponse au creux de l’oreille, ne voulant pas admettre que ce n’était pas de sa faute, mais bien celle de Kameko. Elle échappa un soupir, et osant un léger sourire, elle redressa son visage et, ses yeux plongés dans ceux de Calintz, elle lui dit :

« Ah… toujours aussi têtu ! ! ! Mais je ne retire pas ce que j’ai dit, et je soutiens que tu n’y es pour rien ! ! ! … Mais je crains de comprendre que nous allons devoir se surveiller mutuellement maintenant… »

Sa main calinant doucement la joue de son bien aimé, elle vient alors querir ses lèvres dans un tendre baiser, et enfin, elle entendit du nouveau du côté d’Arekisu. Elle tourna alors son visage vers le maheureux, et tandis que Calintz se tournait lui aussi vers Arekisu, elle se leva et s’approcha du jeune homme, s’asseyant à ses côtés. Elle approcha sa main du front d’Arekisu et reprit sa température. Il avait l’air en meilleur forme en tout cas.
Arekisu regardait la demoiselle et la remercia d’avoir veiller sur lui. Mais savait-il ce qu’elle avait tenté de faire ? Elle ne le savait pas, et cette question la tourmentait.

« De rien, c’est normal… mais… Are… tu te souviens de ce qu’il s’est passé tout à l’heure ? Enfin… de… la fiole, et le reste ? »

L’air inquiète, elle ne baissa pourtant pas son regard cette fois-ci. Arekisu pouvait lui en vouloir, ce serait normal, et elle ne lui en voudrait qu’il lui tienne rigueur pour son acte cruel, malgrès le fait qu’elle ne pouvait rien faire contre.

Maintenant, Arekisu savait qui était Calintz. Puisqu’elle n’avait pas pu s’empêcher de lui poser s’inombrable questions stupides, comme ele l’avait fait avec Calintz le soir où ils se sont retrouvés au lac, et qu’elle l’avait alors harcelé de questions sur l’Amour, la Vie, ce qu’il en pensait, etc…

Createur Nombre de messages : 215 Age : 31 Date d'inscription : 19/12/2007

" Enchanté Arekisu. Moi, c'est Calintz... "

Arekisu ne s'etait pas trompé, cette personne avec kameko et lui etait bien le fameux Calintz, et bien il lui devait une fiere chandelle, Are qui voulait toujours le bien des autres venait d'etre servi, Kameko a qui manquait Calintz venait d'etre comblée, mais il restait seulement un accroc, une fiole brisée ayant un parfum plus qu'etrange gisait pas terre, Arekisu demanda

-Ce serait possible d'ouvrir un peu la fenetre siouplait ??

Kameko demanda ensuite au malade

« De rien, c’est normal… mais… Are… tu te souviens de ce qu’il s’est passé tout à l’heure ? Enfin… de… la fiole, et le reste ?

-Ah la fiole qui pue par terre, bah a par le fait qu'elle se soit brisée a l'arrivée de Calintz et le fait que tu te soit excusée apres, ya pas grand chose dont je me souviens, faut dire que j'ai fait une sacrée sieste...

Arekisu essaya de se lever du lit mais sans succès, il ne pouvait pas encore marcher, tant pis, il resterait assis sur le lit, apres tout il ne pouvait rien faire contre cette fatalité

Calnitz sourit à Kameko mais ne dit rien de plus. Oui, Calintz était Calintz. Et malgrès les mois écoulaient son caractère n'avait guère changé. Ecoutant par la suite Arekisu puis posant ses prunelles noires sur le sol il vit donc le liquide de la fiole brisait. Calintz s'accroupit donc et observa la substence. Vu l'odeur, cela n'était pas une bonne chose à boir.. Son.. Espèce d'intuition avait donc eut raison... Grâce à son intervention, si l'on puit dire, Calintz avait permis d'éviter le pire. Se redressant, il alla ouvrir la fenêtre pour ahérer comme venait de le demander Arekisu puis fit volte-face vers Kameko et Arekisu. Calintz croisa les bras et s'adossant au mur et prit la parole une fois de plus :

" Cette espèce de fiole ne devait pas être bonne à boir... Vu l'odeur... Je dirais que, Arekisu, tu viens d'éviter le pire.. Il faudrait un peu de cette substence pour l'analyser et savoir ces vraies propriétés... Si elles sont dangeureuses je dois dire que nous avons évités la mort d'un élève... "

Calintz s'arrêta subitement à sa dernière phrase : " Evités la mort d'un élève ..." ; Cette phrase, sa propre phrase raisonnait dans sa tête. Certe, il avait évité la mort d'Arekisu.. Mais il n'avait put éviter la mort de son frère d'arme... Et même si le temps passait à flots, Calintz a été tromatisé par cet événement... Mort dans ses bras... Mort par sa faute...

Calintz se décolla du mur et s'approcha d'Arekisu afin de le pousser délicatement contre le fond de son lit et dit :

" Il vaut mieux que tu attendes encore un peu... Tu n'es pas encore en état de marcher et tu as pas retrouvé toutes tes forces. Je pense que si tu tente de marcher tu vas t'écrouler au bout de deux mètres et encore je suis gentil ! Reste allongé tu seras mieux... "

On entendait au timbrement de sa voix qu'un souvenir semblait tourmenter son esprit. Kameko pouvait le savoir car elle avait était présente mais les autres personnes ne pouvaient qu'ignorer. A part Myu et Elly. Calintz retourna vers la fenêtre rapidement pour regarder le ciel et commencer à prendre de profondes inspirations. Il tentait d'évacuer ce souvenir mais pour le moment, le souvenir était trop fort et Calintz était encore faible pour ne pas se pardonner, et même qu'il ne se pardonnerais jamais, et accepter la mort de son frère d'arme et surtout de coeur.

Kameko restait là, assise aux côtés d'Arekisu, son regard posé sur le bors du lit, n'osant pas regarder Arekisu en face. Balançant son pied d'en avant en arrière, elle écoute Calintz expliquer la situation, et repousser Arekisu contre son lit.

Maintenant, Arekisu savait. Il allait surement lui en vouloir, mais bon, Kameko ne méritait que ça de toute façon...

Elle pose alors enfin son regard sur Arekisu, se demandant si elle allait lire dans ses yeux de la haine ou de la compation. Quoi que quelqu'un qui compatie avec une personne qui avait tenté de le tuer quelques temps avant, c'est vraiment quelqu'un de... spécial. Elle n'en avait vu qu'une seule pour le moment, de ce genre là...

Puis c'est alors qu'elle vit Calintz, près de la fenêtre, les yeux remplis de tristesse et de mélancolie. Il ne fut pas longtemps à Kameko pour comprendre ce qui le tourmentait. C'étaiot parfaitement évident. Il pensait à Key. Et à tout le reste.

Elle posa alors son regard sur Arekisu, lui murmurant un vague " excuse moi " pour dire qu'elle prenait congé quelques minutes, et elle se leva, s'approchant à grande vitesse de Calintz. Postée devant lui, elle approcha alors sa main sur sa joue, la calinant doucement, puis elle approche son visage contre son torse et enmennant sa main sur sa hanche droite, elle vient te caliner, et te dit :

" Mon Ange... tu penses à Key, hein ? Mais tu sais... il est pas loin. Je lui parle moi. En utilisant la Nécro. Il est perdu, entre deux mondes, et il ne peut pas se reposer. Mais le pont positif, c'est qu'il n'est plus possédé. Au moins, il est libre. "

Elle ne savait pas vraiment si elle réconfortait Calintz avec ces mots. C'est vrai que ce n'était pas génial, mais au moins il savait.

Createur Nombre de messages : 215 Age : 31 Date d'inscription : 19/12/2007

Arekisu etait seul sur son lit, kameko etant partie reconforter Calintz, en tout cas la fenetre n'avait toujours pas été ouverte, pas cool, et ceci Are le ft remarquer

-Maieuh, siouplait vous pouvez ouvrir les fenetres, j'en ai marre de cuire ici Crying or Very sad

le jeune createur ne savait que faire, il s'ennuyait et pas moyen de faire quelque chose ici, il demanda aux amoureux

-Euh ... Vous savez pas ce qu'on pourrait faire ici, j'm'ennuie un peu et en plus j'suis interdit de sortie sous peine de chute frequente

Il demandait quelque chose a faire, mais en plus, il essayait de faire rire les autres personnes presentes dans la piece ce qui est une intention louable, mais malheuresement dans cette infirmerie reignait un climat de tension enorme, et cela quiconque entrerait le remarquerait aussitot

( si elle est ouverte la fenêtre, Are. Relis bien la réponse de Calintz )

Kameko tourna alors son visage vers Arekisu. A savoir ce qu'ils pourraient faire, elle n'en savait fichtrement rien. A croire que la tristesse est contagieuse, ils allaient tous finir par déprimer dans cet endroit de Mort.

Elle haussa donc les épaules, se rendant soudainement compte de l'atmosphère pesante qui regnait en ces lieux. Elle ne savait pas quoi faire pour faire plaisir à Arekisu, et encore moins pour réconforter Calintz. Elle se sentit vraiment nulle sur le coup.

" Le problème quand on est en convalescence, c'est qu'on ne PEUT et qu'on ne DOIT rien, sous risque d'emplifier les dégâts. A toi de voir si tu veux te lever, mais je ne te le conseil pas non plus... Ca t'arrive souvent ces genres de convulsion ? Ou c'est tout nouveau ? "

Ainsi elle se posait la question, et espérait lancer la conversation, même si elle savait très bien que même en parlant avec Arekisu, il finira par se réennuyer, tant qu'il ne pourra pas sortir. Le mieux était d'attendre une infirmière. Mais elle ne risquait pas de venir avant longtemps. Cela faisait des mois qu'ils ne l'avaient pas vue. Elle aussi avait disparue. Allez savoir pourquoi tant de gens disparaissaient dans cette académie. Kameko le savait, mais personne ne devait savoir qu'elle était au courant. Elle en avait fait les frais quand la principale intéressée avait compris que son secret était en danger. Ca lui a vallu un cerveau trafiqué, et une mémoire qui se brouillait, et allait parfois jusqu'à disparaître complètement. Elle en oubliait même qu'elle était avec Calintz. Et quand la mémoire finissait par lui revenir, elle s'en voulait énormément de ne même pas se souvenir d'être avec lui.

Elle laissa échapper un soupir à cette pensée, elle aussi maintenant empreinte à des souvenirs pénibles qui lui en rappelaient d'autres, bien plus douloureux.
Le visage enfoui contre le torse de son bien aimé, Kameko ferma les yeux, se concentrant sur son pouvoir, essayant de voir si Keitaro était là, près d'eux, où s'il n'était pas là. Elle espérait, rien que pour pouvoir réconforter Calintz, et se réconforter en même temps.

Faire du spiritisme, ça peut être marrant ça aussi. Non ?

Calintz posa ses mains sur le rebords de la fenêtre, ferma les yeux et baissa la tête comme signe d'impuissance. Alors que la Belle Kameko tentait de le réconforter, il tourna légèrement la tête sur le côté. Non, il ne lui en voulait pas pour ne pas avoir réussit la coopération avec les directrices mais simplement qu'elle avait beau lui dire toutes les paroles possibles pour tenter de le persuader que ce n'est pas lui le coupable mais il savait que c'était sa faute. Tout était de sa faute. Que ce soit la perte de Key son frère de coeur, la perte de contrôle de Kameko durant son abcence... Tout était de sa faute... Il en souffrait et surtout de la mort depuis un bon moment mais de savoir ce qui est arrivé à Kameko c'était la goutte d'eau en trop. Il se sentait indigne... Il se sentait honteux, il ne pouvait plus regarder Kameko sans être couvert de honte...

Calintz resta dans le silence sentant cependant les larmes venirent à ses yeux. Il tourna le dos à Kameko et Arekisu et sans émettre le moindre bruit ou mouvement, il se mit à pleurer en silence. Il dit sur le bout des lèvres sans laisser entendre à sa douce et au malade restant comme uen statue de marbre :

" Key...Maintenant Kameko... Je fais que le mal autour de moi.. Si seulement Key tu pouvais être encore en vie... "

( 21h51 ???????? O.o eh j'avais pas dit que tu restes au pieu toi ? hein ? Et ton os tu t'en fou ?????? Je vais te fritter la prochaine fois tu vas voir ta fête !!!!!!!!!!! >.< )

Kameko comprit qu'elle était impuissante face à la detresse de Calintz. Le problème avec lui est qu'il est encore plus têtu qu'elle, et qu'elle a vraiment une chance minime de lui faire entendre raison. Ce n'était de la faute à personne ! Personne n'y pouvait rien, et Kamkeo préférait en vouloir à Night Lyu de ne pas avoir voulu rescussité Keitao. Là au moins elle en voyait, des tords à reprocher !!!

Laissant échapper un soupire, elle retourna alors voir Arekisu. Elle ne savait plus quoi faire pour Calintz.
C'est alors qu'elle sentit comme un souffle chaud dans sa nuque. Tient ? ... Elle avait déja sentit ça quelque part !

Assise aux côtés d'Arekisu, Kameko tourne son regard cers sa droite, puis derrière elle, comme si elle cherchait à voir quelque chose, ou quelqu'un. C'est alors qu'elle afficha un sourire, une lueur malicieuse dans les yeux, et dit, à l'intention d'Arekisu :

" T'as déja parlé à un Mort ? Si ce n'est pas le cas, et bien tu vas pouvoir faie ta première expérience tout de suite. "

Elle lui tendit alors sa main, comme pou l'inciter à venir prendre part à sa petite occupation. Elle espérait qu'elle pourrait ainsi donner la possibilité à Arekisu d'entendre quelque chose, en canalisant son energie dans ses mains, pour en donner un peu à Arekisu. Elle, elle n'avait pas besoin de se forcer pour entendre les Morts.

Oui, car il y avait bien quelqu'un d'autre à ce moment précis, dans la salle. Kameko le savait, le sentait, et peut-être même le voyait-elle ?

Dans la salle, une sorte de vent chaud entra et emplie la salle,et une personne un peu translucide apparut,mais personne ne le remarqua sur le moment. La personne en question n'était plus de se monde
depuis bien longtemps.

La personne en question a quitte les siens pour aide un ami et cette ami était trop perdu dans c'est remord et cela, Keitaro ne pouvais le supporter, et avait décidé de revenir, Mais cela lui coûter cher, car
il n'était ni dans l'enfer ni dans le paradis, il était place dans un lieux qu'il avait nommer « Le mutisme » car l'endroit n'était que désert même si il y'a avait de la verdure a perte de vue, il n'y avait que le silence et que si il venait a le quitter il devait utilise une matière
qui permet a lui de rester vivant dans ce monde la et donc il
accourcirai sa vie dans ce lieux mais cela lui était bien
égale...

La seul personne qui pouvais le voir était kameko et lui souri avec le même sourire chaleureux qui était le sien.

Cela fessait longtemps Kameko..Tout le monde va bien?..Que ce passe t-il, jamais je n'ai ressentie de telle remord de Cal'...

il n'avais pas changer physiquement, mais il porter maintenant une longue veste blanche fermer qui briller légèrement.

Désolé d'interrompre ces.. charmante retrouvailles mais qui a donné l'autorisation a keitaro de revenir même sous forme de fantôme ensuite je ne pense pas que Kameko est suffisamment de pouvoir pour faire revenir ainsi keitaro.. Vous auriez dut venir en parlé a syu et ou a lyu ou a moi!! j'aimerais qu'on reparle de ça par ce que vous abusez un peut trop de vos pouvoirs))

( myu si tu pouvais retirer ton message maintenant, ça serait bien, ça fait tâche au milieu du rp !!! xp )

La chaleur que Kameko avait ressentit avait maintenant disparue, mais il était évident qu'elle n'était pas la seule à la'avoir ressentit. Ayant fermé les yeux quelques instant, elle les réouvrit, et se retrouva alors nez à nez avec Keitaro. Laissant dessiner sur ses lèvres un fin sourire, elle vint hocher légèrement son visage pour lui dire bonjours, et répondit à sa question, à voix haute :

" Oui tout le monde va bien ! Du moins pour ma part... Ca se sent tant que ça que Cal s'en veut ?? "

Elle savait bien que oui. Il n'avait pas bougé de sa fenêtre depsui tout à l'heure, et il n'avait plus adressé de sourire à qui que ce soit depuis qu'ils avaient abordé le sujet sur la Mort de Keitaro.

" Il croit... que c'est de sa faute si tu es mort. Va lui faire comprendre que ce n'est pas vrai il est pire que moi !!! "

Elle vint alors apporhcer ses genoux de son corps, les entourant de ses deux bras, elle déposa son menton dans le creux formé par ses deux genoux, et hocha légèrement la tête pour montrer Calintz.

Ca pouvait sembler bien étrange d'entendre Kamkeo parler à voix haute à quelqu'un qui semblait ne pas être là.
Peut-être que Calintz réagira alors, et qu'il se posera la question de savoir pourquoi Kamkeo parlait toute seule. Enfin si Arekisu et Calintz écoutaient attentivement les paroles de Kameko, ils comprendraient qu'elle parlait en fait à Keitaro...

Dessiant alors de nouveau un sourire sur son visage, elle lança alors :

" Je suis contente de te revoir, Key !! "

Calintz prêta son oreille à la conversation. Kameko parlait à Keitaro ? Calintz haussa les sourcils se retournant rapidement. Mais hélàs il ne vit rien. Est-ce illusion ou alors une mauvaise blague ? Ou bien alors une méthode de Kameko afin qu'il ne se sente pas coupable ?

A vrai dire Calintz n'en savait rien, il ferma les yeux à nouveau, se retournant encore une fois face à la fenêtre, tournant le dos aux deux ou trois occupants. Il finit par croiser ses bras sur le rebord de la fenêtre, et enfouir son visage dans le creux de ses bras. Il lâcha un long soupir et se mit à pleurer dans le silence le plus complet.

Il n'arriverait jamais à se pardonner pour cette mort. Il avait perdu une personne qui lui était chère, il n'avait pas envie de perdre la deuxième personne qui lui était importante. Il ne pourrait même plus regarder le monde en face à l'affronter .. Il préfèrerait mourir plutôt que de subir chaques jours le regard du monde et se sentir honteux... Ne pouvant jamais se pardonner.

» kameko a toujours la dalle [mitsuki/val... libre ne pas ver]
» Arekisu Baronaru
» enfin la detente... ?? [ rp arekisu ]
» Chambre n°1 (..., Arekisu, Sirius )
» absence de kameko