Sagano Yuki

Invité

Nom :
Sagano

Prénom :
Yuki

Age :
15 ans

Pouvoirs :
Nécromancien

Caractère :
Yuki est de nature assez calme et réservé, il aime la tranquillité que lui offre sa vie, la liberté est quelque chose sans fin pour lui, il se demande ce que c'est mais en même temps non, il se complique souvent la vie a se poser trop de question, c'est peut-être sûrement pour ça qu'il reste a l'écart des autres, toujours en train de se harceler lui-même, il ne sait pas vraiment quoi faire : se comprendre est une chose très difficile a ses yeux car chaque jours on en découvre un peu plus.

La nature, ce petit coin vert d'herbe, ces oiseaux qui chantent ça lui rappelle des souvenirs qu'ils apprécient particulièrement d'ailleurs, ce sont des choses qu'il peut supporter sans peine, contrairement aux humains qu'ils trouvent la plupart du temps misérable, répugnant, à ces yeux ils mériteraient tous de ne plus existé pour chaque terre qu'ils souillent : lui y comprit.

Pour l'instant son caractère révèle plutôt des points positifs, mais il ne faut pas oublier qu'il est nécromancien et ces personnes là n'ont jamais vraiment eu une bonne réputation, après c'est selon le caractère qu'ils se soudent ; depuis tout petit il adore observer son corps, déplacer des os et se démettre des membres, on peut le qualifier de maso, mais pas seulement en plus de se faire souffrir il aime faire souffrir les autres, en particulier les gens qui lui veulent du mal, il ne vaut mieux jamais tombé face a lui pendant ses périodes de troubles. Il peut très vite devenir moqueur et enfoncé les autres a sa guise si les êtres autour de lui ne lui plaisent pas. Mais il a apprit a devenir prudent et observateur suite a quelques évènements pas très réconfortant de sa vie, il reste souvent de sang froid quand on le provoque, mais ce n’est qu’une façade car il peut tuer sans hésitation, il n’y a pas eut beaucoup de meurtre sur son passage, mais tous on été sanglant.

Ce garçon n'est pas du genre a chercher les autres ni a se mêlés des querelles que ses petits camarades provoquent, ils préfèrent les manipulés a ses souhaits d'ailleurs quand il s'agit d'obtenir quelque chose il y arrive ; il serait futé dans son genre. Les groupes, les clans, ça n’a jamais été son fort, il est le seul maître de lui-même et parfois des autres, ces pouvoirs lui ont apprit des choses intéressantes. Seulement une double personnalité risque d’être créé à son insu…

Physique :
Quinze ans et pourtant on voudrait bien lui donner de plus si on ne se fit qu'à son apparence extérieur, près des 1m75 ça taille lui donne un fort avantage pour le vieillir qui plus est les cheveux longs lui permettent quelque peu de caché ce visage de gamin "sortit tout droit du berceau" comme qualifierait ces lycéens impétueux, de plus ses habits lui donnent une certaine prestance, le mot "classe" ne serait que lui donne un air avantageux et vantard, c'est pourquoi on dit qu'il a une certaine prestance : plus d'un regard c'est tourné sur lui quand on le voyait. Une tenue de cuire, voir de combat on pourrait dire qui moule bien son corps, un blouson de cuire qui tient chaud et lui colle a la peau, peut facilement s'enlever si on fait glisser la fermeture, seulement il y a des petites croix qui passent devant qui bloqueront le chemin pour les plus tenter. Il met ça a peau nue et celui-ci descend jusqu'au genou mais reste ouvert sur le bas, et pour finir un pantalon de cuire large.

Il a les traits fins qui sont appuyés par sa couleur de peau blanche mise en valeur par sa chevelure argentée, certains disent que s'il avait des vêtements féminins on n'y verrait aucune différence. Ses yeux sont d'un bleu scintillant et très claires, ils semblent aussi vastes qu'un océan, quand à ses cheveux ils restent souples et soyeux, ils se mettent directement en place quand ils sont décoiffés, le vent aura beau soufflé, ça ne le dérangera pas.

Histoire : Quand naquis ce jeune petit garçon ce fut le plus beau jour pour ses parents, l'histoire merveilleuse qu'avait engagé ces deux êtres continuaient dans le bon sens. Ils décidèrent de nommé leur fils Yuki pour une raison qui pourrait paraître simple mais en fait ils se sont creusés la tête : Yuki signifie "neige" en japonais, la neige, cette chose froide et pure, que tout le monde regarde souvent tombé. Mais cela est bien plus profond, la jeune mère de Yuki nommé Céleste avait été en son temps jeune, une délinquante, placé dans plusieurs familles d'accueils dont elle ne trouva pas le réconfort et confort, ce fut une enfant difficile que peu de familles acceptèrent de plus son caractère violent et fugueur lui avait fait une mauvaise réputation, elle fut alors envoyé au japon comme dernier recours, son oncle et sa tante vivait là-bas, elle fut vite intégré dans un clan et fit ses preuves auprès du groupe. Quand au père de Yuki, il ne valait pas mieux, son père un Yakuza de renommer qui en faisait fuir plus d’un, d’ailleurs les fils de Yakuza n’ont pas beaucoup d’ami, c’est pour ça qu’il décida de créer sa propre petite association, c’est là qu’il rencontra Céleste.

Tout les deux étaient des êtres impures, qui avaient fait beaucoup de choses non négligeable en leur jeune temps, ils étaient noirs, et souillés, leur passé les rattrapait sans cesse, c’est pour ça que quand ils eurent un enfant ils décidèrent de l’appelé Yuki, peut-être pour expier leur pêché et se sentir moins coupable de tout les crimes qu’ils avaient pu commettre.

Ce petit bonhomme grandissait tranquillement en ne souciant pas vraiment de ce qui se passait autour de lui, il était souvent tout seul dehors, bien que ces parents le chérissent beaucoup au fond de lui il l’appréciait : cette solitude. Bien qu’en grandissant il remarquait plus de choses, il était sans cesse surveillé, souvent par des gardes du corps qu’il repérait sans soucis. Il montait alors en haut des arbres faisant languir les sujets de son père. Il rigolait légèrement.

Un soir de pleine lune il décida de sortir mais sans passé par la porte car ces parents lui auraient malheureusement interdit, il faisait des insomnies de plus en plus fréquente. Il avait déjà étudié le terrain maintes et maintes fois et la seule issue a ses yeux étaient l’arbre, debout sur le rebord de sa fenêtre en bonne équilibre, il s’élança a une branche, ses mains la saisirent facilement et par la force de ses bras il se remonta a la branche d’arbre par la force de ses bras sans difficulté apparente, mais il eut un petit problème la branche ne fut pas très solide et se cassa, il devait être a 6 mètres du sol environs et grâce a sa bonne agilité, il parvint a sauter sur le tronc d’arbre mais pas sans mal, d’ailleurs sa réception sur le tronc fut si mauvaise qu’il dut se laisser glisser en s’arrachant la peau des mains et a deux mètres il se laissa tomber.

Il ne pleurait pas mais avait très mal aux bras et tout ce qui va avec, les habits qui couvraient son torse était déchiré et quand il essaya de se relever il poussa un cri de douleur sa jambe semblait déboîté et il ne voulait en aucun cas alarmé ses parents, ni les gardes ou quoi que ce soit d’autre par contre ce qui l’avait étonné c’est qu’il ne se soit pas encore fait repéré avec tout le bruit qu’il avait fait. Il commença alors a toucher sa jambe doucement, ses mains pleines de sang tachaient sa peau blanche, mais la douleur qu’est ce qu’il appréciait ! Ca lui permettait le mal-être qui se trouvait en lui, c’était comme un apaisement, il se fit alors comme un massage en appuyant bien, le plus effrayant était son sourire et un cri qui était comme étouffé. Une fois de plus il était reparti dans son acte de masochisme, se torturant la jambe puis il se la griffa avec ses mains déjà toutes écorchées jusqu'à le sang coule de nouveau, il rigolait puis il s’ouvrit de plus en plus cette petite jambe frêle, le gamin de dix ans semblait bien s’amusé, mais il n’était pas du tout discret, il commença a y mettre un doigt criant un peu, puis deux, touchant de la chaire, du muscle tout ce qui est bien visqueux mais il évita soigneusement les veines et les nerfs, il ne s’entendait même plus crié, souffrir, c’est alors que ses parents arrivèrent tout les deux, sa mère avait une robe de chambre et son père un tee-shirt et un short et ils découvrirent l’acte de leur enfant, des gardes avaient été les cherché car ce qu’ils voyaient ne leur semblait pas du tout normal et effectivement.

Yuki ne faisait pas du tout attention aux arrivants, mais les gardes vinrent le prendre et retiré délicatement la main de la jambe du jeune homme avec écoeurement, mais celui qui le toucha ce prit un gros coup de main dans la joue, avec de belles traces de griffes, c’est alors que les os commencèrent a sortit un a un du corps du garde, c’était vraiment hideux a voir, tout commença par les mains de l’homme, ses doigts se tordirent et la peau qui est pourtant si extensible se déchira, ça remonta ensuite tout le long du corps, les os de cette homme avait prit une autre forme et place, d’ailleurs il n’avait plus de peau au niveau du cou, la colonne vertébrale qui est censés faire tenir la tête au corps était plutôt décoratif, elle faisait le tour de son cou, bien écarté en faisant un collier a pique, bel ornement. Et dans le dos, on pouvait voir une multitude d’os qui ressortait, sans oublier les côtes, elles s’étaient ouverte et ressortaient sur les côtés. Le garçon rigolait sans s’arrêter, un rire de sadique, un rire qui pourrait prouver qu’il lui manque une case, le garçon s’endormit alors après son exploit. Il nageait dans une marre de sang, mais surtout celui du garde qui avait aspergé le petit bonhomme. Tout fut nettoyé et le garçon remit dans sa chambre.

Doucement Yuki sortit de son sommeil, il était dans ses draps et propres, il se souvenait exactement de la veille d’ailleurs il en souriait encore, il n’avait mal nulle part et ses mains étaient encore couvertes d’égratignures. Il souleva son tee-shirt qui lui aussi était propre, son torse aussi était amoché et ses bras aussi. Il souleva alors ses draps, mais comme il ne voyait rien il bougea sa jambe, aucun problème pour le faire ce qui lui le surpris, il la mit sur ses couvertures et lui s’assit. Il n’y avait presque plus, rien juste une grosse croûte, sur tout le long de son tibia même un peu plus. Il se mit debout et remarqua qu’il put marcher tranquillement, il voulut alors aller ouvrir la porte de sa chambre : fermé, mais derrière la porte on put entendre :

« Madame ! Le jeune maître est réveillé. »

Yuki se rassit alors sur son lit, ses parents avaient donc été là lors de la mort du garde du corps, il regarda alors vers sa fenêtre des barreaux avaient été installé à partir de l’extérieur. Le voilà donc reclus et le jour où il pourra sortir ne sera pas demain. Ca il le savait bien mais il n’en avait rien a faire, ça le faisait même sourire, il allait pouvoir explorer ses capacités sans risque d’être dérangé et il allait enfin trouver une utilité a cette bibliothèque. D’ailleurs il se dépêcha d’aller vers celle-ci regardant les livres qui s’y trouvaient, il fallait qu’ils prennent le maximum de précaution. Tout ceux sur le corps humains lui seront bien utiles. Il en trouva au moins cinq et il savait pertinemment que les livres étaient complets, ses parents lui avaient toujours offert ce qu’il y avait de meilleur. Il entendit alors les talons de sa mère qui claquait dans le couloir, il les glissa alors au fond de son lit et resserra les livres entre eux. Il s’assit alors sur son lit, les yeux rivés sur l’extérieur.

Sa mère commença un long baratin dont Yuki ne soucia pas du tout, d’ailleurs il réfléchissait de quelle manière se venger, il allait avoir du temps pour y réfléchir, il souriait. Sa mère lui avait dit qu’il allait rester enfermé pour qu’ils réfléchissent a ses actes et que son repas lui sera toujours apporté. En fait il se doutait que c’était seulement par crainte qu’on allait l’enfermer, il demanda à sa mère son repas que le matin, d’ailleurs celle-ci acquiesça, son fils n’était pas un gros mangeur et ça ne l’étonnait pas plus que ça, elle jeta un bref coup d’œil a la bibliothèque, elle savait très bien que son fils ne lisait pas beaucoup et n’avait jamais regardé de quoi était constitué cette étagère, elle se leva du lit et s’approcha, regardant les gros titres, d’ailleurs elle prit un ou deux exemplaires sur le corps humain, mais Yuki s’en moquait et ne posa pas de question car il avait les livres les plus utiles. Au bout d’un quart d’heure voir d’une demi-heure, ça mère partit, trois livres sous le bras.

Le garçon passa donc des années enfermées dans sa chambre, les visites de ses parents, au début elles étaient régulières mais plus le temps passait plus il fut oublier, il y a même des jours ou il n’avait pas eu de repas, d’ailleurs, personne ne rentrait plus dans sa chambre, car celle-ci était immaculé par le sang, c’est seulement le matin que parfois ça posait des soucis, il demanda donc a ce qu’on lui glisse le repas en ouvrant la porte sur un plateau. Par la suite ces parents prévinrent le garçon qu’il ferait une trappe, comme là ou passe les chiens ou les chats, ça évite d’ouvrir la porte.

Yuki nettoyait toute sa chambre toutes les semaines, mais plus le temps passait moins il passait de temps dessus, s’ouvrant les jambes, bougeant des os de son corps, il s’occupait. Au bout d’un an il devint un fou, il ne dormait presque plus et voulait retrouver cette liberté, la chambre dans laquelle il se trouvait le mettait de plus en plus mal a l’aise, il ne la nettoyait plus, ne se lavait plus, ses parents ne venaient plus le voir et il dormait dans une marre, son corps avait des cicatrices qui semblaient mettre du temps a guérir, du moins : de plus en plus de temps !

Un jour il se décida, il frappa sur la porte de sa chambre, il se moquait de la réaction de ses parents, ils voulaient juste sentir l’oxygène, oui cette odeur qui n’en a pas. Après être rester vingt minutes de plus sur son sol, quelqu’un ouvrit enfin la porte, qui ça pouvait bien être ? Il n’en savait rien, il y avait une ressemblance entre les deux personnes, sûrement de visage… Non pas vraiment, c’est juste qu’il se sentait apaisé. Le jeune garçon s’agenouilla au sol, versant des larmes et vint prendre Yuki dans ses bras, murmurant toujours les même mots : « Désolé… Désolé… Désolé… » Et il serrait le jeune garçon dans ses bras, Yuki put fermer paisiblement les yeux, il se sentait protégé mais ne comprenait pas le geste de cette personne, il n’avait pas la force de parler et de lui demander qui c’était, d’ailleurs il n’avait pas la force de réfléchir et de se demander qui était-ce. Mais cet instant de paix ne dura pas, bien vite ses yeux se rouvrirent des talons claquaient dans le couloir, mélangé a d’autres pas, il se doutait bien que c’était sa mère qui arrivait sûrement en compagnie de son père ou alors de garde du corps. Le garçon qui tenait Yuki tremblait un peu plus à l’approche de ses personnes tout en resserrant son étreinte et répétant inlassablement ces mêmes mots.

Quand sa mère ouvrit la porte, ce ne fut pas avec douceur, déjà elle cogna les deux garçons et s’empara de l’inconnu avec une certaine poigne qui le fit lâcher Yuki sur le sol, le garçon avait beau de débattre il était maîtrisé, en même temps une ancienne leader n’avait pas de mal a mettre au tapis un garçon, malgré les années passées. Elle mit le gamin dans les bras d’un garde et ordonna aux hommes de tout nettoyer, ainsi que son fils, Yuki s’endormit.

Invité

[Y avait plus assez de place XD]

Il se réveilla, il faisait jour et il était dans son lit sous les couvertures… Etait-ce un mauvais rêve ? Non, la douleur se faisait ressentir et le sommeil le tirait encore, Morphée avait donc décidé de ne pas le laisser tranquille, à son grand regret. Son corps était plein de bandages. Il recommença à dormir. Maintenant il ne ratait plus ses heures de sommeil car il savait que sans ça, il lui était impossible de guérir, d’ailleurs c’est peut-être bien de regarder son corps, mais après un an et demi on commence a connaître chaque parcelle, sa chambre était redevenu comme avant, mais là il s’en moquait, il n’y faisait plus attention et il lui arrivait de boire son sang quand la faim le tiraillait, son repas, oui il le glissait par la trappe, tout les deux jours, plus de vingt-quatre heures sans mangé était un véritable supplice, il essayait de gérer comme il pouvait son ventre.

L’ennui se faisait de plus en plus présent, il regardait par la fenêtre à ses heures libres et essayaient parfois de savoir ce qui se tramait dans cet immense domaine. Plus personnes dehors, les couloirs lui semblaient vide et le manoir vide, sauf qu’il y avait toujours un garde devant sa porte, c’est alors qu’un petit rongeur passa sur l’arbre en face de lui, il souriait, cette petite nature l’amusait toujours autant, il n’avait en aucun cas perdu ses instinct sauvages, c’est alors qu’il tendit la main espérant que le petit écureuil vienne, mais rien, ça commença alors a l’énervé, c’est sûr que quand on reste tout le temps enfermé et qu’on ne mange pas a sa fin la colère s’empare plus vite de notre esprit et bien c’est ce qui se passa et sans vraiment le vouloir, tout les os sortirent du petit rongeur et se précipitèrent dans sa direction, certains furent arrêter par les barreaux mais d’autres vinrent se planter dans la poitrine de Yuki ainsi que dans son bras.

« C’est bien ma veine ! »

Il s’assit alors sur son lit ensanglanté et commença a enlever les os, un par un tout en réfléchissant a ce qui venait de se passer, la douleur ne le touchait même plus quand il se l’infligeait. Par la suite il s’amusa a poser les os dans la chambre et les faire venir a lui, il avait beaucoup de mal a contrôlé la vitesse et la trajectoire, plusieurs fois pénétrèrent en lui. Deux ans c’était écoulé depuis qu’on l’avait enfermé dans sa chambre et détruire des rongeurs ne lui plaisaient pas tant que ça, sa liberté le manquait et il en avait plus que marre, c’est alors que lui vint une idée, il s’avança vers la porte et se racla la gorge, sa voix en pleine mutation était quelque peu râpeuse et s’élançait sur un ton grave mais doux et sensible, une voix dont la séduction serait simplifié.

« Puis-je avoir mon repas ? »

L’homme sur le coté de la porte lui répondit, qu’il n’y avait pas souci en lui expliquant que sa mère étant partie, ça lui ne posait aucun inconvénient. Une fois le repas apporté, il s’assit sur le coté de la porte et commença a lui raconter quelques trucs, comme quoi ses parents avaient changé d’habitation mais qu’elle passerait sûrement aujourd’hui et quand aucun cas, elle ne devait savoir pour le repas car c’était elle qui avait recommandée le repas tout les deux jours. Le garde trouvait totalement injuste que Yuki soit enfermé et si Yuki avait bien compris l’affaire, l’homme ne travaillait ici que pour gagner de l’argent, il n’aimait en aucun point la famille sauf lui car il eut dit : « Toi, j’t’aime bien mon p’tit gars… » Yuki rigola faussement, et lui répondit qu’il n’était pas désagréable et demanda a ce qu’on le laisse sortir, l’homme refusa catégoriquement car les autres ne devaient pas être transgresser. Il glissa alors le plateau sous la porte, de moitié et prétexta qu’il était bloqué, l’homme se pencha en avant. Le piège se refermait doucement. Yuki tendit la main vers la porte, aux emplacements où se trouvait l’homme et celui-ci poussa son dernier râle, les os s’étaient enfoncés sans peine dans la porte, mais ne lavait pas transpercer. Aucune trace des clefs en tout cas, il saisit donc un os, plus précisément celui du fémur, car il était plus en avant et sa résistance semblait supérieur. Il le sortit avec peine de la porte et en tomba même à la renverse en arrière. Ensuite il commença à donner des coups d’os sur la serrure de la porte qui se cassa. Yuki souriait, la première épreuve était franchit, il l’ouvrit facilement, la tirant vers lui grâce aux os qui était planté dans la porte. Il laissa sur sa porte, d’ailleurs ça fit une belle traînée de sang quand il l’ouvrit, il se pencha un peu et trempa ses doigts dedans pour un boire… Il s’était maintenant trouvé un nouveau jeu : comparé le sang au sien, pour l’instant il trouvait le sien meilleur, mais il n’eut pas le temps d’en déguster plus, sa mère arrivait déjà, a quatre pattes au sol, main dans le sang de l’homme, s’abreuvant. Elle poussa un cri d’horreur, Yuki avait du sang qui dégoulinait des lèvres, tout en souriant, la jeune femme courut dans le couloir, elle repartait de là ou elle venait. D’un simple geste Yuki leva la main et la grande partie de ses os s’éjectèrent dans sa direction, la distance fut assez grande pour que Yuki roule sur le coté. Les os vinrent donc se planter dans le garde qui gisait au sol. Le jeune homme se releva et s’avança vers sa mère fière de son exploit, il avait oublié le sentiment d’amour que celle-ci lui avait apporté mais peut-être qu’un jour il s’en mordrait les doigts. Celle-ci le regarda et lui planta alors une aiguille dans la jambe quand il fut arrivé a bon niveau.

« Tu ne sais encore rien de la vie, mais moi je sais ce qui va t’arriver, tu vas t’endormir et te faire interner jusqu'à la fin de tes jours »

Yuki tomba genou au sol, il commença alors a pleurer, mais pourquoi donc ? Ca personne ne le savait, ce qu’on pu entendre c’est un éclat de rire, il pleurait et riait en même temps ! Il regrettait ce qu’il venait de faire : si seulement il lui avait enlever les os de ses bras, elle ne l’aurait jamais piqué, mais il se sentait soulagé en même temps, car il savait très bien qu’il réussirait a s’échapper de sa prochaine prison qui se nomme : asile.

Il se réveilla, quand ? Où ? Il n’en savait rien, il avait les bras nouer, il se trouvait dans un lit et ne pouvait pas bouger. Il resta calme, il faisait noir, il commença à réfléchir, il devait donc se trouver dans un asile, les personnes avaient prit soin de couper ses ongles, ça l’énerva légèrement, de plus il ne voyait pas du tout comment faire pour sortir. Il se mit debout et les lumières s’allumèrent. Il plissa les yeux, il avait la vue assez sensible comme tout humain qui se trouve soudainement dans le jour après avoir dormit. Il regardait ou il se trouvait, les murs étaient tous en ferraille, la seule chose qui lui semblait confortable était son lit, il n’y avait aucune fenêtre, il y avait juste son lit et deux portes, sans oublier des haut-parleurs, d’où une voix retentit.

« Bonjour jeune garçon. Tu te trouves actuellement dans un asile, autant ne pas te le cacher, je pense que c’est traumatisant pour toi qui est si jeune, c’est sûr qu’a 12 ans, ça doit faire un drôle de choque. Ton père t’a envoyé ici contre une grosse somme d’argent je me suis vue dans l’obligation d’accepté. Il nous a raconté des choses incroyables à ton sujet, mais vu ta tête d’inoffensif, je ne pense pas que ce soit le cas, il a juste voulu se débarrasser de toi, je pense… Nous avons une mauvaise nouvelle à t’apprendre, ta mère est morte dans des circonstances étranges, de toute façon tu ne verras plus jamais le jour et tu finiras ta vie ici. Tout est dit, si tu as des questions, pose les, tu es sur écoute, quelques soient le lieu ou le moment, des petites caméras filmeront chacun de tes gestes. Ton repas va t’être apporté »

Le garçon souria et se demandait s’il allait faire ses preuves ou pas, mais bon il fallait bien qu’il se libère de cette tenue encombrante. Quelqu’un pénétra alors dans la pièce qui était maintenant sa nouvelle demeure : plus précisément sa chambre. Yuki qui avait toujours enlevé les os grâce à ses doigts se demandaient s’il allait réussir quelque chose par son esprit. L’homme s’approcha de Yuki, et posa le plateau par terre. Le garçon recula et en profita, il ferma les yeux et l’homme commença a gémir, il resserra l’emprise sur ce corps et les os sortir doucement comme si des épines poussaient. Une fois de plus du sang coulait, Yuki s’approcha alors de l’homme et se coupa la tenue très étroite qui lui empêchait de bouger les bras pour se libérer. L’homme s’écroula au sol et Yuki détendit ses bras.

« Vous ne croyiez tout de même pas que j’allais rester toute ma vie ainsi ficelé ! Bon et bien après déduction vous devinez peut-être qui a tué ma mère mais ne vous inquiétez pas ! Cet exemple servait juste à faire mes preuves. Tant que vous me laissez tranquille et que vous continuez de m’apporter mes repas, il ne vous arrivera rien de bien méchant. »

La personne qui se trouvait derrière les haut-parleurs et caméra ne répondit pas, il était surpris surtout et ne savait pas quoi dire. Des hommes vinrent enlever le corps et nettoyer la chambre, mais Yuki refusa, il traîna le corps jusqu'à la salle de bain, c'est-à-dire la pièce qui se trouvait derrière l’autre porte, le jeune garçon détruisit les caméras et haut-parleurs, une douche, un lavabo et des produits, voilà l’aménagement de cette petite pièce : mais bien assez grande pour y faire des expériences. Il sortit ensuite tout seul de la pièce et leva la tête vers la caméra.

« De toute façon il était mort. Rappelez donc vos chiens, sauf si vous voulez qu’ils finissent comme ce pauvre homme. »

Un sourire sarcastique, emplie de méchanceté et de cruauté se dessina sur son visage, il vaux mieux exécuter ce qu’il dit au pied de la lettre d’ailleurs les hommes partirent sans même attendre les consignes. Qui aurait pu croire qu’un gamin de 12 ans parle ainsi ? Peu de monde sûrement, ces pouvoirs étaient déjà si effrayant mais son caractère, ne l’était-il pas plus ?

Deux nouvelles années s’écoulèrent, Yuki ne faisait plus rien de ses journées, depuis qu’il était là il n’avait tué que trois personnes et vraiment bien ausculter leur corps, il n’en tua pas plus car ce n’était pas nécessaire, ces hommes là n’avaient rien demander sauf de gagner leur vie humblement. Maintenant le garçon restait recroquevillé sur lui et réfléchissait a longueur de journée de temps en temps un homme établissait un dialogue avec lui par haut-parleur. C’est de cette manière qu’il s’eut la nouvelle. Il allait changer d’endroit, la description qu’on lui avait donné c’était : « c’est pour les fous comme toi ! » la voix lui était inconnue, mais une chose était sûr personne ne l’appréciait.
Il se demandait bien ou il allait bien tomber, a ce qui parait c’est une académie dirigé par trois sœurs, ou il risque de rencontrer des gens comme lui. Le garçon souria, comme s’il avait de la suite dans les idées. De toute façon il n’avait pas le choix, soit il restait toute sa vie ici, soit il allait pouvoir de nouveau goûter à une certaine liberté. Les hommes de l’asile le conduire alors à l’académie.

Particularité : Il a tué de sa mère de sang-froid et a vécu dans un asile pendant 2 ans, pour lui la vie n’est que succession de mort autour de lui. Tous ce qui touche au sang et au corps humain, il adore ! C’est la seule chose qui lui fait éprouver de l’intérêt. Malgré ce caractère de sauvage au fond de lui est enfermé une beauté : geler depuis longtemps…

[J'espere que c'est assez long :p]

MErveilleuse fiche qui ma pris 30 minutes de mon temps pour la lire mais on ne peut qu'encourager l'ecriture tres romanaesque et descriptive de cette fiche.

Bravo et fiche acceptée bien sur!

Bon jeu^^

Invité

J'ai mit du temps a l'écrire cette histoire en tout cas ! J'espere que mes rp plairont autant que l'histoire !

Merci !

Bienvenu ^^ en tous cas ^^

» Sauvons Yuki!
» chambre n°5 (Ramon, Mordred, Yuki)